De Seth MacFarlane (également acteur) ; Seth MacFarlane, Chad L. Coleman, Scott Grimes, Mark Jackson, Penny Johnson Jerald, J. Lee, Peter Macon, Adrianne Palicki, Jessica Szohr.
Pour adultes
(space opera woke) Une pyramide extraterrestre dans le désert avec des ptérodactyles verts bleus échappés de Pandora, la planète forêt aquatique qui tourne autour. Quelque part l’évolution s’est planté ou alors ils sont arrivés accrochés à la navette. Au pied de la pyramide, la chef de la sécurité Tala fait son rapport à la commandante Kelly Grayson : ils ont complètement scanné la chambre intérieure et n’ont rien trouvé, ce qui n’a rien à voir avec la sécurité du vaisseau ou de l’expédition.
Puis, apercevant la capitaine Ed Mercer occupé à saisir du texte sur sa tablette, Kelly interpelle son supérieur en lui demandant cavalièrement ce qu’il est en train de faire, écrire un roman ? Tel un petit garçon, Ed bafoue et explique qu’il écrit pour Enaya, sa fille née hors mariage d’une espionne Krill devenue récemment dictatrice en chef de sa planète après avoir assassiné son prédécesseur pacifiste et tenté d’assassiné le président de l’Union planétaire. Si Kelly semble comprendre qu’un père puisse vouloir écrire à sa fille, elle s’étonne que Ed puisse imaginer arriver à faire acheminer son courrier jusqu’à la planète Krill. Petit garçon qu’il semble être, Ed n’y a pas réfléchi, et pourtant il me semble qu’une correspondance secrète n’est pas envisageable compte tenu qu’il existe une résistance sur Krill et en l’état d’avancement des technologies. Mais Ed s’enfonce davantage en expliquant qu’il croit que lire de vieilles lettres dans un futur possible suffira pour une jeune fille voire une femme voire une très vieille dame à remplacer un père absent.
Mais comme la même personne écrit les répliques de Kelly et de Ed, Kelly répond qu’après toutes ces années, Ed peut encore la surprendre. Ou alors c’est une manière particulièrement perfide de se f..tre la gu.le de son supérieur hiérarchique, mais il est vrai que Ed tend systématiquement le bâton pour se faire battre, ce qui était un gag récurrent jusqu’à ce que The Orville se dramatise dramatiquement.
Soudain, Charly Burke la nouvelle venue à bord spécialiste de tout qui semble ignorer l’existence des communicateurs, hurle depuis l’entrée de la pyramide qu’ils ont trouvé quelque chose à l’intérieur. Au dernière nouvelle, elle était ingénieur, navigatrice en charge du harcèlement à bord, que fait-elle à jouer les porte-voix sur un chantier archéologique ? Les trois descendent dans une galerie en pierre taillée à la lumière des veilleuses. Ils arrivent dans une pièce plus grande où l’équipe apparemment dirigée par Isaac qui n’avait rien détecté jusqu’alors, vient de détecter une vaste chambre derrière un mur. A) ce genre de découverte n’était-elle pas possible depuis l’orbite planétaire ? b) nous tenons l’explication de la présente de Burke : elle est là pour faire chier Isaac et parce qu’Isaac la fait chier et c’est une manière à Ed de prouver qu’il est encore capitaine à bord, quand bien même il recrute des harceleuses psychopathes en guise de spécialistes de tout indispensable à toute mission.
Petit obstacle, la chambre mortuaire serait piégée. Isaac a une solution simple. Ouvrir lui-même la porte et endurer la pluie inexplicable de carreaux d’arbalète dont les ressorts fonctionnent toujours à merveille depuis des millénaire. A l’intérieur une espèce de galerie marchande couverte remplie d’objets, vieux de 7000 ans, similaire à la civilisation des anciens égyptiens. A bord de l’Orville, Burke est bien sûr une experte en archéologie intersidérale et fait la belle en répondant aux questions du pilote Gordon Malloy sur un rasoir antique.
Pendant ce temps, le jeune Topa, fils transsexuel du couple de Moclan, s’essaye à un test holographique de commandement, apparemment espionné par Kelly Grayson qui semble cultiver un intérêt tout particulier vers le jeune homme. C’est donc en débardeur moulant poitrine en avant et une serviette qu’elle se rapproche le plus possible de l’adolescent pour lui proposer de l’assister tout particulièrement dans son apprentissage du commandement. Kelly a en effet un plan, mais ce n’est pas celui que vous croyez, à moins que .
... à nouveau, un épisode qui essaie de jouer sur tous les tableaux et en arrive à véhiculer des messages ignobles en pensant prêcher la tolérance.
D'abord une mise au point des fondamentaux de la biologie reproductive et de l'évolution.
Les Mochlans sont censés être une race de mâles (et de femelles, mais c'était un secret d'état). Gros problème de vraisemblance : ils pondent tous des oeufs viables (en fait on ne sait pas trop pour les femelles). Or seules les femelles pondent des oeufs. Donc tous les Mochlans sont des femelles de fait.
Se pose alors le problème de savoir en quoi consiste la "procédure" qui aurait transformé Topa en homme pour se conformer aux valeurs de sa société. Et en quoi consisterait alors la "procédure" inverse.
Dans une race sexuée, et quand bien même comme cela se fait en biologie terrienne les gens donneraient des noms compliqués à des organes de plantes ou d'animaux qui remplissent strictement la même fonction que l'organe humain, le mâle ensemence la femelle, avec une bite ou son équivalent qui projette une cellule dont le seul but est de décharger son matériel génétique dans un oeuf qui n'est pas encore fécondé, ou son équivalent.
L'évolution donne sur la Terre des espèces à deux sexes, un ou deux par individus, ou bien des espèces unisexuées, se reproduisant par exemple par parthénogénèse. Le problème de la reproduction unisexuée est qu'elle conduit forcément à l'appauvrissement du patrimoine génétique, l'évolution de l'espèce ne se produisant qu'à partir d'erreurs - des accidents ou des tentatives d'adaptation, dangereuse. Ce type d'erreur permet l'évolution de l'espèce en des individus plus complexes - et l'apparition de la reproduction sexué qui garantit une diversité génétique suffisante dès que la population dépasse un nombre d'individus eux-mêmes divers suffisants. En cas d'eugénisme ou d'inceste (incluant le mariage entre cousins du 1er degré qui n'est pas reprimé en France mais produit les mêmes conséquences), les générations suivantes s'appauvrissent génétiquement et les erreurs dangereuses se multiplient : malformations, maladies génétiques congénitales, maladies mentales etc. jusqu'à ce que la population s'effondre et soit remplacée par une autre plus diverses.
Revenons aux Moclans: s'ils sont tous des femmes et peuvent tous pondre, ils ne peuvent pas varier leur matériel génétique sans insémination. Si la moitié des individus est naturellement mâle, cela permet de créer autant de génération diverse génétiquement et d'éviter la destruction retardée des générations suivantes avec 50% de succès même à partir d'une population survivante même faible. Mais si tous les individus capables d'enfanter sont capables d'inséminer, les chances d'éviter la destruction des générations suivantes à 100%.
Autrement dit, le fait de couper sa bite et ses couilles à un Moclan pour le proclamer "femme" au corps "conforme" à sa "nature" ou à l'idée qu'il ou elle s'en fait est bien un problème de survie de l'espèce Moclan, et si des humains se mettent en tête de persuader le plus de Moclan possible de changer de sexe pour se conformer aux 50% de prétendus sexes femelles ("femmes") humains, il s'agit bien d'un génocide à effet retard, ou d'une réduction des chances de survie de l'espèce Moclan de 50%. Il ne s'agit donc en rien de préjugé ou de considération politique ou d'une divergence cosmétique de civilisation.
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Maintenant passons à la sphère du privé et des considérations individuelles - la liberté de changer de sexe comme chacun l'entend, sachant que dans la réalité, ce changement de sexe n'est jamais réel, il s'agit en l'état des technologies et des sociétés du passé comme du présent d'une escroquerie qui mutile des individus plus ou moins sains, détruit leur santé, impliquent qu'ils soient drogués à vie, et dépendant de firmes pharmaceutiques à vie ne serait-ce que pour expérimenter un confort biologique dont ils jouissaient naturellement avant la castration.
Le premier point qui doit vous frapper, c'est à quel point la production a choisi de ne montrer ni la procédure de changement de sexe, ni le changement de sexe. Sans rien regarder d'avant ou après la série, visionnez simplement le passage où Isaac le robot Kaylon exige que Topa, l'adolescent, se dénude et s'étende devant lui pour subir "la procèdure". Dans la scène, Topa prétend avoir peur des conséquences. Seulement des conséquences ?
Le second point est que la production force la progression de l'histoire avec des éléments qui ne sont pas la métaphore du transsexualisme, mais qui en réalité correspondent aux sensations des gens qui soit ont changé de sexe et réalisent qu'ils ont été trompés et que leur corps est désormais mutilé et malade à vie, ou alors aux horreurs qu'ont subi et subissent toujours les intersexes viables et fertiles entre les mains de nos bons docteurs qui écrivent par exemple dans l'encyclopédie universalis que les intersexuels doivent être "apte aux coïts" (c'est-à-dire à recevoir un homme qui voudrait procéder à une pénétration),
Spoiler : :
quand dans le même temps vous réalisez que pour ces bons docteurs, une femme est un trou qui n'a ni bite, ni couilles. Puis vous réalisez que les manuels scolaires censurent des siècles durant l'existence du clitoris féminin qui n'est autre qu'une bite, parce que les femmes ne sont pas censées avoir de bite. D'où la principale mutilation sexuelle féminine.
Donc la production The Orville prétend prêcher la propagande LGBTQ et big pharma selon laquelle tous les hommes et toutes les femmes devraient pouvoir changer de sexe et devenir stériles (et ensuite acheter des bébés à des fermes de mères porteuses ukrainiennes et autres matériels génétiques et organiques arraché aux corps des femmes du tiers-monde et de leurs bébés plus ou moins avortés. Puis devenir consommateurs captifs de médicaments et de drogues plus ou moins expérimentaux aux effets secondaires monstrueux, mais peu importe aux yeux de Big Pharma, qui ne respecte déjà pas les gens en bonne santé, alors pensez-vous le respect réservé aux gens si autopunitifs qu'ils accepteraient qu'on les mutile sexuellement et qu'on les stérilise. Quant aux cas des vieux et des moins vieux victimes d'un cancer ou d'un accident, ils n'auraient jamais eu ce cancer ou cet accident si leur société avait été plus éclairée et prospère qu'avides et barbare sous un vernis de civilisation désormais étalé par des agences de propagande -
Spoiler : :
et les hommes ne seraient pas si facilement castrés s'il n'y avait pas une pression de l'entourage, très lucrative pour les urologues, de leur couper les couilles afin d'éviter que l'héritage et la pension de veuvage file sous le nez de Madame et de ses enfants nés dans le mariage, pour être capté par une jeunette et la progéniture issue d'un mariage recomposé, sans mentionner les sectes, les églises très officielles et les partis politiques qui courent après le fric des vieux.
Et en même temps la même production prétend précher le droit à un individu mutilé sexuellement de voire cette mutilation réparée.
Et à l'arrivée, être une femme "Moclan" se résume à porter une robe (pourpre, la couleur de la bisexualité selon Disney dans ses séries Marvel) prendre le thé avec une posture plus maniérée et parler avec une voix plus haute : et pourquoi pas porter des talons hauts, une perruque blonde qui touche le plafond, pousser des hauts cris à la vue d'une souris ou d'un One direction en robe etc. etc. ? Purement cosmestique.
Et la question qui revient en toute légitimité : sachant que Topa avait apparemment atteint la puberté, comment aurait-il pu estimer qu'il lui manquait quelque chose (sic) puisqu'il avait une bite en plus, forcément fonctionnelle,
Spoiler : :
donc de quoi jouer à la console de jeu sans console de jeu matin, midi, soir et jusqu'au bout de la nuit, et la possibilité de pisser debout, sans oublier la fierté d'une érection matinale, sans oublier l'absence des règles salutaires, remplacée par le nettoyage de la tuyauterie par l'urination. Et comment pourrait-elle se montrer plus à son aise privée de la possibilité d'ensemencer son partenaire ? Qu'à-t-elle en réalité gagner à part la joie et le privilège d'enrichir Loréal : pondre des oeufs tout comme commander un vaisseau, tous les hommes de son espèce savent le faire. Quelle fierté y-aurait-il à être "moins" et apparemment mutilée dans ce cas d'une espèce fictionnelle, sachant que dans la réalité une femme naturelle enfante et allaite, alors que les hommes et les transsexuels réellement mutilés, pas du tout.
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Nous en arrivons à l'ignoble.
Spoiler : :
Beaucoup de gens prétendent ignorer ce qu'est une pédophile et ses tactiques. On évoque cependant dans la presse un mystérieux "grooming", une préparation de l'enfant ciblé, qu'il s'agisse d'une petite fille ou d'un petit garçon ou d'adolescents, dans le but de l'exploiter sexuellement, cette exploitation ne se limitant pas aux attouchements et aux divers viols. mais le plus souvent se double de manipulation et d'une exploitation commerciale de la victime, en la persuadant de revendiquer un droit à "aimer" et être mutilé toujours plus jeune, ces âges de prétendu consentement étant toujours plus abaissé pour éviter la prison aux adultes qui les organisent et profitent sexuellement ou par des jeux d'égos et des subventions de l'exploitation des plus jeunes.
Et bien ne vous posez plus la question : ce que fait le personnage de Kelly Grayson est strictement la recette d'un ou une pédophile qui ciblerait le personnage de Topa pour le manipuler sexuellement. Rien ne justifie l'intérêt de Kelly envers Topa : elle tourne autour de lui tel un buzzard, elle prétend tout comprendre alors qu'elle n'a aucune qualification psychologique. Son diagnostique est complètement frivole, le scénario et les répliques sont spécialement écrits pour faciliter la manipulation sexuelle et la manipulation d'un mineur, elle lui met dans la bouche tout ce qu'elle veut l'entendre dire et répéter aux autres, elle insiste lourdement pour qu'un mineur accède à des informations médicales, facilite une opération sexuelle illégal d'un mineur par un robot faisant parti d'un empire génocidaire -- qui n'a pas autorisation de l'Union d'opérer à bord, sur un citoyen d'une planète qui n'autorise pas ce genre de mutilation de ses citoyens, et chose curieuse ne mentionne pas le danger à ce que Moclan décide de rompre à la fédération. De plus elle menace le parent légitime de Topa et l'ayant provoqué, le brutalise physiquement pour prouver qu'elle peut faire n'importe quoi à son fils parce qu'elle est commandant et qu'elle a le capitaine et la doctoresse de bord dans sa poche.
Et pourquoi fait-elle tout ça ? Parce que cela ne plaisait pas à Kelly que Topa ne soit pas une jeune fille quand elle aurait à la prendre sous son aile pour lui montrer comment on devient capitaine. Dois-je rappeler que Ed n'est devenu capitaine que parce qu'il avait couché avec Kelly et que celle-ci a fait intervenir son père amiral ? Contexte désastreux qui laisse entendre que l'on n'obtient quelque chose dans cette flotte qu'en couchant avec ses supérieurs.
Curieux que dans la véritable armée, les hommes comme les femmes qui ont été forcés par leurs supérieurs hiérarchiques de coucher avec eux appelaient cela du viol et que certains sont allés jusqu'à tuer les supérieurs en question - le genre d'affaire qui existait déjà dans l'armée romaine antique où certains supérieurs hiérarchiques n'hésitaient pas à forcer leurs jeunes soldats et à les prostituer.
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Enfin un dernier point pose problème sur le thème du changement de sexe. Il passe totalement à la trappe dans une majorité de récit parce que beaucoup de gens sont persuadés que le corps c'est en gros de la viande qui leur appartient à eux, à leurs parents, au pape, patron ou dictateur.
Eh bien le corps (humain, animal etc.) n'est pas une chose : il est vivant, il a plusieurs systèmes nerveux, des communautés cellulaires, bactériologiques et virale au moyen desquelles non seulement il peut se nourrir, se régénérer, percevoir et raisonner tout en ressentant des émotions positives, de l'énergie, de l'empathie.
Les corps ne sont pas des objets que l'on peut vendre, mutiler, empoisonner à plus ou moins petit feu avec des colorants et des métaux lourds et des drogues plus ou moins licites : ils ne sont pas de la viande, ce sont plusieurs personnes et c'est à la portée de chacun de le vérifier à chaque instant : caressez votre avant-bras, respirez plus profondément, étirez-vous, pratiquez un art physique - laissez votre corps choisir dans quelle direction il doit se plier ou se déplier. Le premier cerveau en terme de connexion nerveuse est le système digestif et pour cause, et si vos bonnes bactéries disparaissent à cause d'un empoisonnement médicamenteux, biochimique ou à base de nourriture industrielle et de pesticide et autres dérivés du pétrole ou solution vaccinale, vous attraperez Alzheimer - et miracle qui apparemment n'arrange pas le big pharma et les autorités, si ces bonnes bactéries naturelles sont réensemencée, hop, plus d'Alzheimer.
Dès lors qu'un corps est une ou plusieurs personnes, le respect et l'absence de mutilation s'impose. Certes il y a des cas où pour sauver le reste il faut amputer ou pour retrouver un minimum de santé au moment T il faut s'empoisonner un peu, mais ces cas ne se produiraient pas si la situation n'avait pas été presque toujours provoquée : pour pratiquer un sport extrême (conduite dite "ordalesque"), avoir un accident ou se retrouver victime d'une guerre ou d'une agression, il faut forcément être autopunitif et avoir laissé des gens au pouvoir qui ne devraient jamais l'être. Ces situations ne sont jamais la faute à pas de chance, et s'il faut bien mourir un jour, ce n'est jamais un jour plutôt qu'un autre ou dans une agonie qui n'arrange que d'autres personnes plus psychopathes et plus avides que toutes les autres.
De ce point de vue, le problème numéro 1 des scénarios de The Orville c'est de cacher la nature de la "procédure" de changement de sexe, et de tromper le spectateur sur les implications de la nature hermaphrodite des Moclans : aussi bien l'épisode About A girl (à propos d'une fille) de la première saison que l'épisode A Tale Of Two Topas prétend qu'être une femme, peu importe l'espèce c'est à la fois magique et génial, --- se fiche des réalités aussi bien dignes que sordides : remplacez donc en imagination dans ces deux épisodes Topa par une fleur géante de Cannabis, intelligente et dotée de la parole, --- puisque cette plante produit d'un côté des plants mâles et de l'autre des plants femelles et que nous avons déjà vu dans la série des fleurs géantes parlantes. Et déduisez alors la valeur des arguments défendus par les uns et les autres ainsi que leurs ressentiments prétendus en laissant suivre le même cours des récits de chaque épisode.
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En conclusion, si vous vous êtes sentis mal à l'aise en regardant cet épisode, ce n'est pas parce que vous êtes transphobique ou que les thèmes abordés sont graves, mais parce que toute l'écriture du récit est tordue dans le but de servir une propagande tout en dénonçant en partie tout le mal qu'elle cause (double contrainte : je dis blanc mais je dis noir aussi, la paix c'est bien mais la guerre c'est quand même pas mal non plus etc.), et la maladresse atroce de l'écriture provoque une explosion de messages révoltants, qui sont pris je suppose par la production comme des inducteurs d'émotions préférables à l'indifférence et des points de départ à des débats "sains", mais ne le sont absolument pas.
