Space 1999 S01E20: Space Brain (1976)
Traduction du titre original : Le cerveau de l'Espace.
Diffusé le 29 janvier 1976 sur ITV 1 UK.
Diffusé le 22 janvier 1977 sur TF1 FR.
Sorti en blu-ray anglais le 1er novembre 2010 chez Network (lisible en France, pas de version française ni de sous-titres français).
De Gerry Anderson et Sylvia Anderson ; réalisé par Charles Crichton sur un scénario de Christopher Penfold ; Avec Martin Landau, Barbara Bain, Barry Morse, Prentis Hancock, Zienia Merton, Anton Phillips, Nick Tate, Shane Rimmer, Carla Romanelli, Derek Anders.
Pour adultes et adolescents.
(space opera horrifique) Sur la station lunaire Alpha, tout le monde semble faire des puzzles, plus ou moins de grande taille. Koenig vient justement d'en terminer un, finit sa tasse de café, et, ouvrant la porte donnant sur la salle de contrôle, déclare à Paul et Sandra renversés sur leurs chaises qu'il prend son tour de garde. Paul lui dit qu'il a de la chance. Koenig répond qu'il y a mis quatre heures, cinquante-deux minutes et vingt secondes. Sandra félicite son commandant : elle pensait que personne ne parviendrait à finir en moins de cinq heures. Koenig répond qu'il serait temps qu'ils aient un nouveau puzzle (à finir). Paul renchérit : il serait temps qu'ils aient un nouveau monde (à explorer). Koenig leur répond de garder les yeux ouverts et leur souhaite une bonne nuit.
Retournant dans ses quartiers, il s'arrête dans un couloir désert et fait demi tour pour appeler Paul à une colonne de communication. Comme il enclenche l'interrupteur, le logo sur l'écran est remplacé par des lignes de symboles étranges, rappelant de l'écriture cunéiforme. Sur l'écran, les lignes défilent tandis que le haut-parleur crépite. Voyant cela, Koenig réenclenche l'interphone et appelle encore Paul, apparemment en vain. Il tente alors d'utiliser son communicateur personnel, mais sur l'écran miniature, les mêmes lignes défilent accompagnées du même crépitement au son.
Ailleurs, un couple qui lui aussi faisait un puzzle se retourne en entendant le même crépitement: les mêmes lignes défilent sur l'écran de leur colonne de communication. L'homme se lève en se demandant ce que cela peut être. La doctoresse Héléna Russel découvre le même message sur la colonne de communication de son infirmerie. Elle aussi tente d'utiliser l'interphone, puis avec un geste de dépit, elle sort de l'infirmerie et retrouve le professeur Bergman dans le couloir. Elle lui demande ce qui se passe. Il lui répond qu'il ne le sait pas : c'est soit une plaisanterie, soit quelque chose d'intéressant.
Dans le poste de contrôle, Paul essaie en vain d'utiliser son pupitre pour changer quoi que ce soit aux caractères qui défilent sur l'écran géant, que Sandra fixe calmement. Koenig sort de son bureau, moins calmement. S'immobilise et Paul signale que le même message arrive sur toutes les fréquences. Koenig ordonne à Paul de retracer l'origine du message. Koenig s'élance alors pour traverser la salle de contrôle et scruter le ciel obscur à travers une baie vitrée : des étoiles et des nébuleuses étirées bleu-vert et violacées. Dans le dos de Koenig, Héléna Russel et Bergman font leur entrée à petites foulées. Et ils ne sont pas seuls puisque le reste du personnel prend son poste.
Bergman demande à Koenig s'il a vu quelque chose. Koenig répond que non, mais que quelqu'un essaie de communiquer avec eux. C'est alors que Sandra annonce que le signal vient le long du vecteur 397. Koenig demande alors à Kano qui vient d'arriver de voir ce que leur ordinateur de bord peut faire du message. Puis à Alan, le chef des pilotes des aigles, de tenir un équipage prêt à décoller. Alan, qui vient d'arriver déclare que Wayland et Costo sont prêts à partir. Koenig ordonne qu'ils s'envolent le long du vecteur 397 pour voir ce qu'ils peuvent voir (sic). Et Alan d'annoncer à l'interphone (qui étrangement n'a plus de problème à fonctionner) que Wayland et Costo ont l'Aigle 1, et qu'ils doivent se bouger.
à bord de l'Aigle 1, un barbu blond et un moustachu roux ont pris les commandes. L'Aigle 1 décolle et le barbu souhaite que leur rendez-vous ait un joli visage. Sur le poste de contrôle, le message se coupe. Le barbu dit qu'il voit quelque chose d'incroyable (sic) et que la température augmente. Apparemment la "chose incroyable" est en train de leur lancer des jets intermittents de matière blanche liquide visqueuse qui virevoltent dans l'espace.
Spoiler : :
Le barbu blond commente qu'il y a "d'étranges formes" qui se forment tout autour d'eux. De fait, l'Aigle 1 est recouvert de quelque chose qui ressemble à de la mousse à raser, et ce n'est pas autour de leur vaisseau spatial, mais bien sur leur vaisseau spatial, tandis que les éjaculations se poursuivent. Bientôt, l'Aigle est entièrement recouvert, de cette sorte de mousse à raser et aussi de quelques fils de barbe à papa.
Tandis que le barbu (Wayland) hurle dans l'interphone, Koenig lui ordonne un peu tard de se dégager. Sandra semble soupirer.
Spoiler : :
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