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Murderbot S01E07: Complementary Species (2025)

MessagePosté: Dim 22 Juin 2025 11:10
par Greenheart
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Murderbot S01E07: Complementary Species (2025)
Traduction : Espèces complémentaires.

Diffusé à partir du 20 juin 2025 sur APPLE TV MOINS INT/FR.

De Chris Weitz et Paul Weitz (également producteurs exécutifs) d'après la série de romans The Murderbot Diaries de 2017 de Martha Wells ; avec Alexander Skarsgård (également producteur), David Dastmalchian, Noma Dumezweni, Sabrina Wu, Tattiawna Jones, Akshay Khanna, Tamara Podemski ; noter que David S. Goyer est également producteur exécutif.

(Prospective, cyberpunk, comédie ? Toxique woke propagandaire) Un mois auparavant, à bord de la base spatiale Port Libre Commerce. Un restaurant futuriste à peu près identique à ceux du 20ème siècle et encore un flash-back qui n’existe pas dans le roman original. Une table semble particulièrement bruyante, mais c’est sans doute parce que c’est la seule où les acteurs ne miment pas leur repas et ont pour consigne de regarder fixement la table en question.

« Je sais… Okay, ne devrait-on pas changer de sujet de conversation ?... Ouais, faisons cela ! » Quelqu’un, a priori Rathi, se met à scander « Bharadwaj ! » imité par tous les autres sauf Mensah qui semble dormir et Gurathin dont les implants neuronaux le font apparemment constamment souffrir de constipation.
Bharadwaj, la scientifique âgée en question, l’admet : « Doux… » Puis commence son discours : « Nous sommes à la veille de la conférence commémorative de Chatterjee (NDT : de l’anglais, chatter of « Gee » traduction : « ça alors ! de papotage »), et je n’ai jamais parlé devant une foule si grande… Pin-lee avait des tickets pour leur ensemble théâtral favori, mais ils les ont annulé pour qu’ils puissent s’asseoir au premier rang de ma conférence et que j’aie des visages amicaux à regarder. »

Bharadwaj grimace et précise : « Amer… Alors que l’ai mal pris : j’ai confié que j’avais des sentiments romantiques envers eux et que Pin-Lee n’avait pas répondu à ces sentiments…»

NDT
Spoiler : :
En bonne série propagandiste wokissime ultra-toxique, le personnage de Bharadwaj est une homosexuelle qui utilise le pronom pluriel pour un individu singulier transexuel, afin de conditionner le spectateur à plonger dans une même confusion mentale dans la réalité, confusion qui facilite toutes les manipulations, tous les crimes et toutes les situations de blocage, en particulier les accusations et toutes les formes de viol et d’esclavage tel être forcé économiquement de porter les bébés des autres enfermé dans un bunker pour sa « protection ». Cette scène pas plus que cet usage toxique de pronoms n’existe pas dans le roman d’origine dont la série Murderbot est l’adaptation.


Bharadwaj achève, clairement en larmes : « Pin-Lee, mes excuses pour l’inconfort que je t’ai causée. »

NDT :
Spoiler : :
Les anglais ont abusivement supprimés la seconde personne du singulier excepté pour s’adresser à Dieu parce que selon leur religion, Dieu est unique mais triple (double-contrainte : si Dieu est unique, il ne peut pas être triple, par définition). La confusion des discours religieux vise la manipulation, en particulier sexuelle des masses. Les autres langues sous influence romane maintiennent le tutoiement et ajoutent des mots pour signifier entre le respect, la soumission, l’arrogance, l’amitié ou le désir — au lieu d’aggraver par tout moyen la confusion de ces sentiments incompatibles dans la réalité, et dont l’incompatibilité force la folie via la double-contrainte (respect n’est pas soumission, amour n’est pas amitié, désir n’est pas amour etc .)


Pin-Lee répond en serrant la main de Bhradwaj radieuse : « Nous pouvons parler à propos de ceci. », le bras tendu de Pin-Lee faisant barrage à Gurathi, à la fois de l’assiette et du reste de la tablée, et il semble perdu dans ses pensées, à moins que lui aussi ne se soit en fait connecté au service de streaming par satellite de la Compagnie.

Ils se mettent tous à claquer des doigts, sauf Gurathin tandis que Mensah, la chef du groupe, répète : « Nous pouvons parler à propos de ceci. » Et tous répètent en souriant, au point que Gurathin sursaute et se met à claquer des doigts et répéter à son tour. Et pendant ce temps, bien sûr, ils ne parlent pas à propos de ceci.

Et de toute manière, vu le temps qu’ils passent à parler de leurs sentiments comme dans des soaps sur Netflix ou APPLE TV ou Prime etc. ils ne risquent pas de faire le travail et l’anticipation nécessaire ne serait-ce qu’à leur survie ou même à une mission d’exploration spatiale ou même du frigo. Nous supposerons que Chat GPT doit le faire à leur place, comme le vante toutes ces publicités déguisées à la télévision ou sur les réseaux.

Puis les convives réclament le suivant, et Rathi précise : « Qui est la victime suivante ? » corrigeant immédiatement : « Je veux dire, participant volontaire. » Et d’ajouter : « Je dirais que son nom commence par un G. » Et Gurathi n de prendre l’air du lapin terrifié au milieu de la route sur laquelle fonce un poids-lourd circulant de nuit avec les pleins phares. Puis il fait muettement non et secoue la tête, mais les autres excepté Mensah, se penchent les yeux brillants pour scander : « Gurathin, Gurathin… » Etrangement, ils ne prononcent pas ce nom de la même manière tout le temps : GouraTine ou Gourassine ? Escamotant la difficulté, ils se mettent à scander « Gura ! Gura ! »

Leur vacarme semble déranger plusieurs autres clients du restaurant, qui restent cependant étrangement muets et ne font même pas tinter leurs couverts ou leurs verts. Gurathin fait « chut » puis se rend : « D’accord, d’accord ! Okay, je… je , réfléchissons, je choisis… « Bharadwaj le rappelle à l’ordre : « Tu dois… Doux. » elle fait un signe de l’index tendu devant son nez, et Gurathin répond : « Doux…. » et tend son index devant son nez, puis déclare lentement : « Je choisis notre chef sans peur. »

Puis Gurathin commence : « Okay, alors je suis à une conférence des sytèmes non-alignés en tant que représentant du Groupe de Travail de Libre-Planète ; en fait, je travaille pour le Cercle de la Corporation, en tant qu’espion. » Les autres convives se regardent sans sourire et sans l’air d’avoir compris quoi que ce soit. Enfin Bharawadj s’exclame : « Quoi ? »

Gurathin explique : « Ils m’avaient induit à me trouver très dépendant d’un certain nombre de substances dont eux seuls possèdent la formule ; mon boulot est d’acquérir de l’information confidentielle que le Cercle de la Corporation peut utiliser diviser ses adversaires et étendre leur influence ; ma cible est le professeur Ayda Mensah. »

Tout le monde se tait à table, tandis que Gurathin conclut : « Et tout ça me rend malade, les mensonges me rendent malade, la dépendance me rend malade, et je songe très sérieusement à en finir avec ma vie. »
Bharadwaj laisse échapper un soupir affligé. Gurathin reprend : « Puis je rencontre Mensah ; et je réalise ce qui est possible entre les gens de bonne volonté ; alors je craque, je lui dis tout. Mais… elle me pardonne. Et je… j’emménage sur l’Alliance de la Préservation. »

Un silence, des sourires, puis les convives se mettent à claquer des doigts. Incidemment, la psychothérapie de groupe dans un lieu public comme dans une télé-réalité ou un talk-show ou au journal télévisé est un aller simple pour le suicide. Toute psychothérapie ou confession implique un environnement sûr, donc protégé, donc privé, et aucun appareil connecté, et encore moins d’Intelligence Artificiel qui collecte les données pour les revendre et les utiliser contre ses utilisateurs.

Gurathin vide son verre et Bharadwaj, bouleversée à toute occasion ce qui suppose qu’elle est en dépression nerveuse jamais diagnostiquée ni guérie en moins de six moins sans chimie comme toute dépression peut l’être, cf. Stratégie de la Thérapie Brève de Paul Watzlawick : « A présent… » Elle lève l’index et le majeur joint devant son nez et « …Amer. » Et Gurathin répète dubitatif le geste et le mot « Amer ? » NDT en anglais Bitter (« amer ») sonne comme Better (« ça va mieux »).

Puis comme Mensah semble vouloir dire quelque chose mais se ravise, Gurathin avoue : « Je… Je n’arrive pas à penser à autre chose ; désolé, je ne suis pas très doué pour ce jeu. »

Puis il se lève et quitte la table. Les autres : « Cool… » « C’est okay, Gura… » Mensah ajoute : « Il a seulement besoin d’un peu de temps. » Et d’à son tour vider son verre, imitée par Rathi « Ouais… »
Mensah se lève et rejoint Gurathin debout devant la baie vitrée donnant sur l’Espace profond et le reste de la station spatiale illuminée. Comme quoi, le temps qu’il fallait à Gurathin selon Mensah ne dépassait pas cinq secondes. Elle lui déclare à voix basse : « Alors, le truc c’est que les mauvaises choses font parties des bonnes choses… »

Double-contrainte (noir c’est blanc, la guerre c’est la paix etc.) : faux par définition, une bonne chose ne contient pas de mauvaise chose, et la fin est dans les moyens. La manipulation passe ici par l’absence et la confusion des ponctuations : une bonne chose comme devenir honnête est causée par d’autres bonnes choses comme avoir un sursaut d’amour propre et être bien entouré. Par ailleurs, la trahison d’un espion d’ordinaire se paye, ceux qui emploient des espions pour fomenter des guerres n’ont pas l’habitude de laisser un pion s’en tirer à si bon compte, et rien n’a encore été dit du suivi de ses addictions. Faute de niveau d’écriture et d’indices probant, Mensah utilise la méthode Couë et le mensonge dit « pieux » pour consoler Gurathin, qui objectivement n’avait pas besoin de consolation – ce qui implique qu’il s’agit en réalité d’une scène d’exposition, visant à forcer à l’écran des informations que la production n’avait pas les moyens intellectuels et budgétaires de faire passer autrement.

Mensah continue : « Doux et amer, positif et négatif… » Dialogue d’exposition, Gurathin est censé déjà le savoir et n’a pas besoin qu’on lui répète, d’autant que cela ne s’applique pas à son cas. Mais la production avait besoin de s’envoyer des fleurs pour avoir imaginer ce rite qui serait dévastateur dans la réalité. Rite qui s’apparente aux procés communistes et religieux où la victime doit avouer sa culpabilité supposée et se repentir publiquement de manière à réviser l’Histoire et confirmer la toute puissance et l’absolue science du tribunal et des autorités.

« Ouais… » souffle Gurathin décidément à cours de mots. Puis il se reprend et affirme : « Vous êtes naïve. » Mensah se détourne, puis en buvant à nouveau de son verre (d’alcool ?) qu’elle n’a pas oublié d’emporter pour rejoindre Gurathin, demande : « Continue. »

Gurathin répond : « Cette expédition pour la Compagnie, je n’aime pas ça, je ne pense pas que c’est sûr. » Mensah objecte : « Eh bien nous avons une Unité de Sécurité qui y va avec nous. » Donc la scène se passe après le second flash-back du premier épisode et avant le présent, la première attaque du monstre du premier épisode. Pas merci de mentir au spectateur sur l’ordre chronologique des scènes avec des coordonnées temporelles trop vagues. « Est-ce que cela ne te fais pas te sentir mieux ? » Gurathin répond immédiatement : « Non ! Cela fait me sentir pire. »

Mensah semble interloquée, puis perfide se penche en avant et à voix plus basse : « Alors pourquoi tu es ici ? » Elle ne comprend pas pourquoi quelqu’un qui croit qu’elle lui a sauvé la vie voudrait la protéger d’un danger ? A ce stade-là ce n’est plus de la naïveté… C’est du dialogue d’exposition lourdingue, et surtout du remplissage : quelqu’un ne sait pas écrire un script pour dix épisodes, quand bien même chaque épisode ne ferait que vingt minutes de récit.

Gurathin hésite. Puis finit par répondre : « Je dois aussi être naïf. » Ou suicidaire, mais il l’a déjà dit, et menteur auto-punitif, il l’a déjà prouvé avec la mention de son addiction et faire l’espion pour poignarder dans le dos sa propre nation ou alliance ou ce que vous voulez, aka scier la branche sur laquelle on est perché à une très grande hauteur, bien sûr quand on est assis sur le bout opposé au tronc, si vous n’êtes pas familier de cette métaphore.

De retour au présent, la voix du Murderbot résonne impérieusement dans l’Habitat : « Finissez les préparatifs d’urgence immédiatement ! »

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Re: Murderbot S01E07: Complementary Species (2025)

MessagePosté: Dim 22 Juin 2025 11:13
par Greenheart
C'est donc cela la recette du parti communiste chinois pour forcer la propagande dans la tête d'un public qui la rejette tout en trahissant l'auteur et l'oeuvre adaptée ?

* disque rayé / p.rnographie : les éléments de langage à enfoncer dans le crâne du spectateur doivent être répétés encore et encore peu importe qu'ils soient dans la bouche d'un méchant, d'un gentil, d'un c.n etc. Il s'agit d'une technique d'hypnose typique de la publicité, mais également de nos journaux télévisés et discours prétendus politiques. On utilise aussi le disque rayé pour tenter de faire fuir un représentant ou un parasite, mais cela ne fonctionne que si l'importun n'est pas fou ou désespéré ou contrôlé par chat GPT ou un autre psychopathe qui compte les points.

* Comique psychopathe : prétendez vous moquez de ce dont vous faites la propagande (ici les wokes de l'Alliance de préservation gentils mais très c.ns, ou le murderbot métaphore des drones tueurs génocidaires qu'Israël utilise et vend à qui payera suffisamment cher et ne figure pas sur sa liste des peuples non élus à exterminer).

* confusion à tous les étages : exactement comme Chat GPT confond tous les niveaux d'une tâche ou d'un texte ou d'une image, vous devez plonger et maintenir le spectateur dans la confusion et le doute constant :

- est-ce de la comédie ? est-ce la réalité ?
- à quel époque nous sommes ? où nous trouvons-nous ?
- est-ce un flash-back ou le présent ou le futur ? ou une réalité alternative à n'importe quel moment ?

- s'agit-il de la réalité du monde imaginaire et de sa science ou d'une croyance stupide des uns et des autres ?
- sont-ils du camp des bons ou des gentils ah ben non puis qu'il ya des gentils qui sont méchants ou qui veulent changer et des méchants qui sont gentils mais se font passer pour des méchants etc. etc.
- est-ce que le personnage s'adresse au spectateur, à un autre personnage, à l'auteur, etc.

- est-ce que les personnages sont des hommes, des femmes ou autre chose et sont réellement à tous coucher ensemble ou jamais en réalité ?
- si leur mission est piégée quelle est leur mission et d'une manière générale comment le savent-ils ? S'agit-il d'un trou de scénario
- ou bien on est censé vous révéler le pourquoi du comment plus tard

- curieusement aucun coup de théâtre, aucune découverte n'est jamais préparée au point que les personnages se téléportent d'un plan à l'autre, tout comme les obstacles, les indices etc.
- s'agit-il de remplissage ou d'un dialogue d'exposition artificiel ou est-ce que la production nous raconte réellement une histoire, c'est-à-dire les choses importantes qui arrivent dans l'ordre ou elles arrivent...
- ... avec des personnages qui ne sont pas des marionnettes tirées par le bout du nez, qui prennent des initiatives, usent de stratégies en fonction de leur expérience et culture etc. comme tout être sensible réel ?

- les monstres comme les "humains" ou les "cyborgs" ou les droids sont-ils des créatures artificielles ou naturelles, vivante (capables de se reproduire) ou non ?
- Par exemple, Mensah, Bharadwaj, Gura ou Rathi sont-ils eux-même des robot ? Je rappelle que tout est basé sur les capteurs du Murderbot qui a lui-même admis être piraté par les méchants.
- Les lois de la biologie et de la physique jamais précisée ni jamais respectées, et le virtuel prédomine apparemment dans cet univers, donc impossible de parler de vérité ou de vérisimilitude (récit imitant la réalité).

- Si la réalité virtuelle est aussi immersive que la réalité, comment le spectateur peut-il prétendre que ce qu'il regarde est la réalité des personnages et non une sitcom de plus que le murderbot regarde depuis sa mine sur un astéroïde ?
- il n'y a strictement absolument aucun personnage qui se comportement dignement et intelligemment, pas comme dans le roman d'origine où le murderbot admet lui-même que cela lui fait plaisir de travailler avec des êtres humains intelligents pour changer, donc avec qui au-juste le spectateur va s'identifier, quel genre de traits de personnalité répété à l'écran va s'imprimer au fil des épisodes dans sa tête, pour arriver à quel genre de société et d'expérience dans la réalité de notre présent du début du 21e siècle ?

Si le spectateur ne peut jamais être sûr de rien à l'écran (et sur tous les écrans) et est entouré de gens et de médias eux-mêmes démultipliant la confusion, votre propagande par définition mensongère, toxique et contraire à la réalité devient plus difficile à discerner : le spectateur n'a pas de point de comparaison, la série et les médias n'enseignent eux-mêmes pas à se défendre contre les manipulations et la propagande, bien au contraire : ils utilisent toutes les recettes pour rendre fous les gens et les dresser les uns contre les autres, et à s'auto-mutiler, parce que c'est ce qui rapporte le plus au Big Pharma.

Lisez le roman d'origine en anglais dans le texte (la traduction française de l'ATALANTE contient des contresens et des approximations et des petites coupes problématiques) pour mesurer à quel point la série est trafiquée et toxique en comparaison.

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