La cité sous la mer, le film de 1965

Les films sortis de 1961 à 1980.

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La cité sous la mer, le film de 1965

Messagepar Greenheart » Mar 14 Juin 2016 13:28

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The City Under The Sea (1965)
Autre titre : War-Gods Of The Deep.

Ne pas confondre avec La cité sous la mer, le film de 1953.
Ne pas confondre avec la série The City Beneath The Sea de 1961 (suite de la série Pathfinders).
Ne pas confondre avec Le téléfilm The City Beneath The Sea de 1971.

Sorti aux USA le 26 mai 1965.
Sorti en Angleterre en juin 1965.
Sorti en blu-ray américain le 11 août 2015 (région A, anglais seulement, interview de Tab Hunter en bonus, image et son de qualité).

De Jacques Tourneur ; sur un scénario de Charles Bennett, Louis M. Heyward et David Whitaker ; d'après le poème The City Under The Sea (1831, The Doomed City, La cité maudite) d'Edgar Allan Poe ; avec Vincent Price, Tab Hunter, David Tomlinson, Susan Hart, John Le Mesurier, Henry Oscar, Derek Newark, Roy Patrick.

Pour adultes et adolescents.

Là ! La Mort s’est offert un trône
Dans une étrange ville s’étendant solitaire
Très loin dans les brumes de l’Ouest
Où le Bien, le Mal, le Pire et le Meilleur
Sont partis pour leur repos éternel

Résignées sous le ciel
Les eaux mélancoliques stagnent.

Mais là ! Un souffle vient dans l’air.
Cette vague – c’est là un mouvement clair.
Comme si les tours affleurant allaient offrir
À la Mort ce moment tout entier.


1903. Au bas des falaises de Cornouailles, des pêcheurs ont découvert un corps étrangement habillé rejeté par la mer, et le montre à Ben Harris – Ils reconnaissent Mr Pennrose, l’avocat qui conseillait Mr Gallis. Un vieux marin déclare aussitôt que c’est l’œuvre du Diable, qu’il savait que rien de bon ne pourrait venir de cette américaine installée au manoir, des avocats, avec cet homme qui n’arrêtait pas de poser des questions sur la mine et la manière dont on l’exploitait et ses échantillons de roches… Harris décide d’aller prévenir lui-même Tregillis car aucun des pêcheurs ne veut le faire.

Il va sonner à la porte du manoir au sommet d’une colline venteuse. Le majordome, Mumford, est soulagé de voir le jeune homme car il espère que ce dernier va réparer l’électricité qui ne cesse de partir et revenir depuis l’orage – et regrette l’ancien temps où l’on pouvait faire confiance aux chandelles. Harris répond qu’il vient voir Gallis, et Mumford ronchonne : Harris devrait être là pour l’électricité car les hôtes de la maison ne sont pas correctement hébergés. Puis il fait entrer Harris, qui se retrouve dans un salon où deux vieilles dames lisent ou tricotent, tandis que deux vieux messieurs jouent aux échecs. Puis Mumford accompagne Harris avec une bougie dans les couloirs obscurs : Mumford explique que M. Gallis est l’un des hôtes du manoir – il se prétend artiste, mais Mumford le trouve étrange – il a même ramené une « bête ». Harris est intrigué, et Mumford affirme que le Harris verra la bête, car elle est avec Gallis. Mumford frappe à la porte et s’en va, parce que la dernière fois qu’il a attendu, la « bête » s’est échappée. Une voix de jeune femme avertit à travers la porte : elle va ouvrir, mais il faudra entrer vite.

C’est une très jolie brunette – Jill Tregillis – qui ouvre la porte, et aussitôt, une poule tente de s’échapper de l’appartement – poule que rattrape au vol Harris. Jill présente alors la poule comme répondant au nom de Herbert. Ayant repris contenance, Harris explique à Jill qu’il est là au sujet de Mr. Pennrose. Jill se déclare déçue : Harris et elle sont les seuls américains du village, ils devraient être amis. Puis elle appelle un certain Harold, et Harris s’étonne. Jill répond que Harold est l’un de leurs invités et que c’est un artiste, et propose de le présenter à Harris. Harris suit Jill dans un salon, et Jill le présente à Harold Tufnell-Jones, qui se trouve alors perché au sommet d’une haute étagère, en costume d’écossais, confus. Harold explique qu’il était à la poursuite de Herbert, et demande l’aide de Harris pour descendre de son perchoir. Harris aurait voulu d’abord parler de Pennrose à Jill, qui lui répond que Pennrose est dans son bureau, mais selon Harold, cela peut attendre. Harris finit donc par servir d’escabeau à l’original, qui insiste pour lui montrer l’autoportrait qu’il vient de peindre.

Harris veut alors voir Pennrose dans son bureau, et Jill l’accompagne : la porte est juste en face de l’autre côté du palier. Jill prend un bougeoir et va frapper à la porte. N’y tenant plus, Harris dit à Jill qu’il revient tout juste de la plage et que… Il est interrompu par un bruit de meuble qui se renverse, s’exclame qu’il y a quelqu’un à l’intérieur du bureau de Pennrose et ordonne à Jill de se réfugier dans l’autre pièce. Il n’y a toujours pas d’électricité, les fenêtres du bureau sont ouvertes, et une ombre semble avoir bougé près des rideaux.

À peine Harris fait un pas dans le bureau que l’ombre se relève et lui jette un objet à la tête. Harris esquive et l’objet fracasse le miroir derrière lui. Harris s’empare alors d’un grand éclat de miroir en forme de sabre et le lance en direction de l’ombre. L’éclat se plante dans le mur à côté de la tête monstrueuse de l’ombre – une sorte d’homme-poisson à la peau verte et avec des ouïes. Comme le monstre s’empare d’un tisonnier et l’envoie à nouveau sur Harris, ce dernier s’abrite derrière un fauteuil, et le monstre en profite pour ouvrir un passage secret entre la cheminée et le mur des fenêtres et disparait. Alors Jill et Harod entrent dans le bureau avec un chandelier, et Harris sort de son abri en demandant si quelqu’un est sorti par la porte du bureau…

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