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Alien, le 8ème passager, le film de 1979

MessagePosté: Mer 20 Mai 2015 14:29
par Greenheart
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Alien (1979)

Sorti aux USA le 25 mai 1979.
Sorti en France le 12 septembre 1979.
Ressorti aux USA le 29 octobre 2003 (Director's Cut).
Ressorti en Angleterre le 31 octobre 2003 (Director's Cut).
Ressorti en France le 12 novembre 2003 (Director's Cut).
Sorti en blu-ray américain coffret blu-ray Alien Anthology le 26 octobre 2010 (multi-régions, version et sous-titres français inclus).
Sorti en blu-ray français coffret blu-ray Alien Anthology le 27 octobre 2010 (multi-régions, version et sous-titres français inclus - collector ultimate, lampe de chevet œuf d'alien).
Sorti en blu-ray américain simple le 10 mai 2011.
Sorti en blu-ray français simple le 18 juin 2012.

De Ridley Scott, sur un scénario de Dan O'Bannon, Ronald Shusett, Avec Sigourney Weaver, Tom Skerritt, John Hurt, Veronica Cartwright , Harry Dean Stanton, John Hurt , Ian Holm , Yaphet Kotto, Bolaji Badejo, Helen Horton.

Pour adultes et adolescents.

Le cargo Nostromo, avec à son bord sept membres d’équipage retourne vers la Terre, avec à son bord 20 millions de tonnes de minerai en cours de raffinement. À bord, les couloirs sont déserts, tout comme le poste de commande. Soudain, un écran s’allume et crépite, tandis que des données s’affichent. Puis le silence retombe dans la cabine, mais au bout du couloir, menant à une sorte d’infirmerie, les lumières s’allument et la ventilation se met en marche : sept sarcophages s’ouvrent et un premier membre d’équipage, Kane, se redresse. Les autres suivent, et tous se retrouvent autour de la table de réunion dans les quartiers de l’équipage, pour manger.

Les mécaniciens Brett et Parker commencent à réclamer des primes supplémentaires tandis qu’un bourdonnement annonce que l’ordinateur de bord, qu’ils appellent « Maman » veut parler au capitaine, Dallas. Celui-ci passe un certain nombre de contrôles avant d’entrer dans l’alcôve illuminée du pupitre d’accès privé à l’ordinateur de bord. Il doit alors sélectionner son interface pour demander ce qui se passe exactement. Pendant ce temps, le pilote Kane et la navigatrice Lambert s’installent à leur poste et découvre qu’ils ne sont pas dans le système solaire. Ils passent en vain un appel à Antarctica, le centre de contrôle du trafic interstellaire. Remontant de la salle des machines, les mécaniciens se disputent sur la faute de qui n’est pas arrivé à obtenir les primes supplémentaires. À la table de réunion, l’équipage apprend qu’ils sont seulement à mi chemin entre leur point de départ et la Terre, parce que l’ordinateur de bord a détourné leur vaisseau pour qu’ils enquêtent sur un appel au secours. S’ils n’obéissent pas, ils perdent leurs primes, ce qui fait alors taire les protestations de mécaniciens.

Le Nostromo laisse alors sa cargaison en orbite, et tente un atterrissage à proximité de la source de l’appel au secours, une planète à l’atmosphère primitive irrespirable, perpétuellement dans la tourmente. Ils commencent par perdre un bouclier alors qu’ils amorcent la descente dans l’atmosphère, puis lorsqu’ils touchent le sol, le choc endommage le vaisseau, et déclenche un début d’incendie en cabine de pilotage, vite arrêté. Les mécaniciens annoncent alors une liste de dégâts sans fin, exagérant le temps de réparation à 25 heures avant qu’ils puissent redécoller.

L’appel au secours se répète toute les 12 secondes, mais personne ne répond à leurs appels à eux. La source étant à moins de 2 kilomètres, ils considèrent qu’ils peuvent pratiquement y aller à pied. L’atmosphère est très froide, le sol est composée de pierre d’origine volcanique. Tandis que Ash, l’officier scientifique les suit depuis un poste d’observation à bord du vaisseau, le capitaine Dallas prend avec lui le pilote Kane et la navigatrice Lambert, équipés de lourdes combinaisons spatiales, tandis que Ripley, la capitaine en second garde le vaisseau et veille à l’avancement des réparation par les mécaniciens Brett et Parker. Désœuvrée, Ripley appelle par l’interphone l’officier scientifique Ash et lui demande si elle peut tenter à son tour le décodage de l’appel au secours. Pendant ce temps, le temps s’est calmé, et après avoir progressé à travers un dédale de roches fondues, Dallas et ses coéquipiers arrivent en vue de la source de l’appel au secours, un espèce de tore gigantesque écrasé au milieu des rochers…

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Re: Alien, le 8ème passager, le film de 1979

MessagePosté: Mar 16 Mar 2021 08:05
par Greenheart
Décès de Yaphet Kotto à 81 ans (Parker dans Alien, Kananga dans James Bond Vivre et Laisser mourir), et énormément d'autres films et séries.

Re: Alien, le 8ème passager, le film de 1979

MessagePosté: Mar 30 Avr 2024 15:49
par Greenheart
Alien, le coffret br+4K.

Après déballage du coffret neuf, l'intérieur a été trouvé maculé de graisse avec impression des têtes des machines servant à clipser les disques.
Le disque 4K semblait propre mais il était bien maculé lui aussi, ce qui provoquait des dysfonctionnements au niveau du menu et de la lecture des versions sonores.
Après lavage et essuyage prudent selon les procédures indiquées par exemple sur blu-ray défectueux, le disque 4K a pu être lu normalement.

N'ayant qu'une télévision LCD 4K et après qu'un premier lecteur UHD Panasonic neuf ait claqué l'un de ses composants, je n'ai pu racheter que le lecteur UHD Sony mis a jour. Il m'a fallu du temps pour recalibrer sans certitude avec des résultats décevants à désastreux pour divers disques UHD de film réalisés avant les années 2000.

Par accident j'ai découvert une configuration inattendue qui consiste à configurer le lecteur Sony pour lire du Dolby Vision, sans forcément que les disques soient en Dolby Vision, tandis que la luminosité et le contraste sont réglés plutôt bas, et les ombres sont assombries au lieu d'être éclaircie, ce qui permet de renforcer le contraste et les noirs sans augmenter la luminosité et le contraste qui tendent sur un écran LCD à griser les noirs, en particulier les bandes en bas et en haut du film (ou sur les côtés). Je précise que le film est lu dans le noir pour éviter les reflets et garantir la meilleure ambiance lumineuse, en l'état des performances limitées de mon écran LCD. Attention, il faut s'assurer d'avoir rendu "stupide" l'écran en empêchant la limitation de la luminosité ou toute correction par mesure de la luminosité de la pièce ou encore en fonction du mouvement de l'image: seuls vos réglages doivent compter et l'effet "télénovella" (stabilité de l'image) est réglé assez bas (3 pour 10).

Tous les disques lus sont alors annoncés en HDR, les noirs sont plus satisfaisants et le HDR qui produisait dans certains cas des couleurs fausses trop brillantes est devenu à la plus discret et plus réaliste. Pour l'instant tous les disques (y compris DVD) sont plus beaux à voir, l'UHD de King Kong de Jackson reste décevant en comparaison du naturel et de la beauté de la mise à échelle du blu-ray antérieur.

Alien est un film que j'ai vu en salle au collège. Je ne suis pas certain que le format du film en salle était le même que celui de la présentation UHD, j'ai souvenir d'une image un peu moins large et possiblement plus de détails au moins en bas de l'image. Il se peut aussi que le montage ait été légèrement différent, mais c'est peut-être une illusion due au changement de format.

Le point positif est qu'une fois lu en Dolby Vision (alors que le disque UHD n'est pas annoncé en Dolby Vision), l'image correspond enfin à mon souvenir de la projection en salle, au bruit électronique parasite sur les lettres du générique près. Ce bruit parasite ne figure pas dans la version blu-ray que j'avais (image 1080p mise à échelle par le lecteur Sony), cependant on voit le bruit juste avant l'apparition des lettres. Je n'ai aucun souvenir de ce bruit électronique au cinéma ou en VHS ou en DVD. Je vérifierai pour le DVD.

De la même manière, avec ces réglages particuliers, le bruit qui mange en général la présentation des films d'avant 2000 est considérablement atténué, à moins bien sûr que Sony ait fait une mise à jour du lecteur entre temps pour améliorer l'image, sachant que le lecteur Panasonic lisait les mêmes films antérieurs à 2000 de manière un peu moins bruitée..

Côté son, pour retrouver l'expérience de la salle il faut impérativement sélectionner le mixage de la version cinéma d'époque 4.1. Le film s'ouvre sur une scène très paisible d'exploration du vaisseau vide, qui soudain reprend vie. Au cinéma, le bruit émis par le pupitre faisait sursauter, tandis qu'avec le mixage atmos, nada. Avec le mixage 4.1 de toute manière réparti sur mon 9.1, tout est exactement selon mon souvenir, à condition de pousser le volume relativement haut.

Attention, la première fois que j'ai voulu sélectionner la piste 4.1 mon home cinéma a disjoncté et émis un son tonitruant dangereux pour les oreilles, donc pensez par prudence à baisser le volume au minimum avant de changer de piste sonore. C'est probablement un problème de mon home cinéma où le constructeur avait oublié un composant qui empêchait qu'au niveau des prises HDMI se produisent ce genre de surtension. Le problème peut aussi venir des câbles HDMI ou de l'humidité qui peut se former sur les contacts des prises HDMI. Il ne s'est pas reproduit pour l'instant.

En conclusion sur un matériel de présentation quasi premier prix pour la 4K si l'on excepte le lecteur Sony milieu de gamme à jour, l'UHD d'Alien offre une présentation très satisfaisante et surtout conforme à mon souvenir de la projection en salle. La copie ne semble pas altérée, sinon bien sûr dans son montage Director's Cut auquel je n'adhère pas parce qu'il est incohérent en l'état, mais qu'il faudra que je me décide à revoir un jour.

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