Le meilleur des mondes, le téléfilm de 1998

Les séries commencées entre 1991 et 2000.

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Le meilleur des mondes, le téléfilm de 1998

Messagepar Greenheart » Mar 28 Avr 2015 08:55

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Brave New World (1998)

Diffusé aux USA le 19 avril 1998 sur NBC US.
Sorti en blu-ray américain le 14 mai 2013.

De Leslie Libman, Larry Williams. Avec Rya Kihlstedt, Peter Gallagher, Leonard Nimoy, Tim Guinee, Sally Kirkland, Daniel Dae Kim. D'après le roman de Aldous Huxley.

Avant, les ADN étaient combinés au hasard, et les enfants appartenaient à leurs parents comme des objets. Cela s’appelait la famille. Désormais, plus de guerre, plus de crime et tout le monde est content. Avant les enfants naissaient, comme des animaux, désormais ils grandissent dans des cuves. Le monde a été unifié sous un ordre scientifique, et remercie Soma.

Lenina Crowne est une nourrice pour enfants. Après la visite du centre où l’on fait pousser les enfants, alors qu’elle surveille à l’aide de caméra vidéo les enfants qui dorment, l’un d’entre eux a un sommeil agité, et elle lui donne du Soma et l’enfant se calme. Comme tous les enfants dorment calmement désormais, elle montre ses sous-vêtements à Bernard Marx qui la regarde en vidéo. Bernard Marx travaille pour une agence d’ingénieurie émotionnelle qui doit mettre en place une campagne pour faire baisser l’anxiété et les erreurs au travail des Delta, ouvriers et employés, et compenser la baisse d’amour-propre. L’un des ingénieurs proposent un slogan selon lequel nous utilisons trop notre cerveau, mais le chef du service n’en est pas content. Bernard Marx amorce un débat pour améliorer le système social entier, mais personne ne veut en entendre parler : ce serait renverser les fondement de l’ingénierie émotionnelle. Plus tard, à la gym, une amie de Lenina lui reproche d’être anti-sociale à force de n’avoir des rapports intimes qu’avec Bernard Marx, et Lenina admet qu’elle a raison. En discothèque, la soirée commence par un discours du chef d’état leur demandant d’être heureux, et les slogans défilent sur les écrans géants : le contact intime est un devoir. Au milieu des danseurs, Bernard et Y discutent du problème qu’ils n’ont de relations sexuels que l’un avec l’autre. Arrive le chef de service de X qui va droit vers Y. Celle-ci lui répond immédiatement qu’elle est libre ce soir et ils couchent ensemble.

Le lendemain, les Delta débarquent du métro directement sur les chaînes d’assemblages, tandis que les hauts parleurs répètent à l’infini les slogans comme : les choses vieilles, je les hais – je veux des nouvelles choses. L’un des ouvriers s’amuse alors à jouer avec une souri, et la surveillante lui crie dessus et finit par l’emmener. L’ouvrier n’a que le temps de confier le petit animal à une ouvrière qui s’inquiétait pour lui. Dans le même temps, X et Y font une tournée en hélicoptère prétextant d’aller inspecter les frontières, où des communautés humaines sont restés en arrière dans l’évolution… Ce qui leur permet de passer du temps à se cajoler. Mais l’hélicoptère a une avarie et s’écrase d’une faible hauteur. X et Y sont indemnes. Ils sortent le pilote blessé de l’appareil, et X veut contacter les autorités, mais le pilote lui dit que cela n’est pas nécessaire, ils sont géolocalisé par le satellite. Mais une bande de jeune arrive et commence à tripoter Y. Le pilote sort un pistolet mais une jeune fille le désarme au fouet. Puis X est frappé. Intervient un autre jeune homme, qui récupère le pistolet et chasse les jeunes.

Il relève X et le pilote, et emmène les rescapés chez sa mère, qui vit dans une grande caravane. Celle-ci est émerveillée au-delà du raisonnable, et très confuse. Son fils, John, la rappelle à l’ordre, et comme elle réclame un verre, il finit par lui servir de l’alcool. Y est visiblement choqué par les contacts physiques, mais impressionnée par le torse tatoué et marqué du jeune homme. X est fasciné par les coupures de presse de l’ancien temps, et les livres. Ils apprennent alors que le père de John était un membre de leur communauté : il a séduit sa mère et quand elle est tombée enceinte, il les a abandonné. Quand Y demande à John pourquoi il lit ces livres, il répond que c’est parce qu’ils traduisent en mots ce que lui n’arrive pas à dire. X et Y décident alors de ramener John et sa mère à la civilisation.

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