Les Tripodes S01E01: Un village d'Angleterre... (1984)

Les séries commencées entre 1981 et 1990.

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Les Tripodes S01E01: Un village d'Angleterre... (1984)

Messagepar Greenheart » Sam 13 Aoû 2016 16:09

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The Tripods S01E01: A Village in England: July, 2089 AD (1984)

Diffusé en Angleterre le 15 septembre 1984 sur BBC UK.
Diffusé en France le 13 mars 1985 sur CANAL PLUS FR.
Diffusé en France sur TF1 FR.
Sorti en DVD anglais le 23 mars 2009 (coffret 4DVD, )

De Richard Bates, sur un scénario de Alick Rowe d’après les romans de John Christopher ; avec John Shackley, Ceri Seel, Jim Baker.

Pour adultes et adolescents.

Un village d’Angleterre, en l’an 2089 après Jésus-Christ. Sur des chariots tirés par des chevaux, les villageois arrivent pour installer et tenir la petite fête. Il va bientôt être midi, et Mme Parker achève d’ajuster le col de sa robe rouge. Du bas de l’escalier, elle appelle deux fois John, qui sous le toit, moud le grain. Dehors, assis sur un petit muret au bord du lac, Will et son cousin Henry n’ont pas l’air à l’aise dans leurs blouses blanches. Leur père sort du sous-sol en habit, et les appelle : ils ne doivent pas faire attendre Jack.

Leurs parents marchent en tête de leur petit cortège, et saluent les voisins qui les rejoignent – les femmes portent des chapeaux à fleurs, des châles et des ombrelles ; les jeunes filles des couronnes de fleurs. Jack lui-même salue les gens du village au fur et à mesure qu’ils arrivent à la fête. Sous son chapeau, le crâne de l’adolescent est rasé, et il sourit continuellement. Arrive son père, qui se trouve être aussi celui de Will : il félicite Jack, car aujourd’hui, c’est sa fête. Et sa mère ajoute que Jack fait la fierté de sa famille. Henry, le cousin de Will, sert sans un mot la main de Jack, et Will, le frère cadet de Jack, lui souhaite bonne chance, peu rassuré. Jack remercie Will.

Descend de son chariot un vieil homme en costume et chapeau, le maire, qui vient souhaiter la bienvenue à Jack et déclare que c’est un grand jour. Retentit alors une espèce de cri métallique. Tout le monde se retourne : il est midi pile à l’horloge des Parker, et l’horloge se met à sonner, ainsi que dehors, la cloche du village. Le maire prend Jack par le coude et l’accompagne tandis que les villageois s’écartent silencieusement sur leur chemin, l’air franchement inquiet.

Alors, devant la petite foule réunie devant la mare, trois pieds métalliques viennent enjamber le pont et se poser dans la mare. En haut des trois pieds, une capsule métallique. En bas, au bout du ponton sur la rive, juste devant elle, Jack et le maire qui se tient à côté de lui. La capsule s’incline vers Jack, et le maire s’éloigne tranquillement… Une trappe s’ouvre sur un côté de la capsule, dont l’intérieur lui d’une lueur verte. Jack baisse la tête et retire son chapeau, découvrant son crâne rasé. Une pince descend rapidement depuis la trappe, tandis qu’une autre trappe, plus grande, s’ouvre sous la capsule, au centre. La pince se resserre dans le dos de Jack, sous ses bras – et le cou calé contre une petite barre, Jack est hissé jusqu’à la trappe principale… et avalé.

En bas, le banquet se met en place, et les instruments de musique arrivent. Retourné dans sa maison, Jack remplit un panier, et demande à sa mère pourquoi il doit être couronné. Sa mère lui répond que tout le monde doit être couronné. Jack répète : pourquoi ? Sa mère s’étonne : Will ne veut-il pas grandir et quitter l’école pour aller travailler à l’usine comme son père ? Puis elle sermonne son fils : il ne pense tout de même pas que les Tripodes leur veulent du mal ? Will soupire : c’est seulement qu’il ne comprend pas. Et sa mère lui répond qu’il comprendra plus tard. Puis elle demande à Will d’aller porter la nourriture du panier à la Pierre des Vagabonds, de faire attention : il doit seulement laisser le panier et s’en aller sans traîner.

Comme Will soulève avec précaution le panier, sa mère lui dit de se dépêcher : il voudra être là quand Jack sera de retour. Will s’en va alors le long d’un chemin forestier tandis que son cousin Henry l’accompagne. Will déclare alors qu’il sera heureux d’être un homme, et son cousin renchérit que lui aussi sera heureux ce jour-là : ils n’auront plus d’école, et Will travaillera au moulin, comme son père. Will répond que Henry aussi pourra travailler là-bas, s’il le veut. Mais Will s’arrête en chemin et demande à Henry si parfois il a peur des Tripodes. Parce que, quand on y réfléchit… quand on pense au jour où ils seront couronnés… Henry sourit largement et reprend le pas : il était sûr que Will avait peur.

Will proteste : il n’a jamais dit cela. Henry réponde que de toute manière, l’année prochaine, ce sera leur tour ainsi qu’aux deux filles de la ferme du Saule. En quoi cela pourrait-il leur faire peur ? Mais quand ils arrivent en vue de la Pierre des Vagabonds, les deux garçons constatent qu’ils sont déjà attendus par quatre vagabonds – deux hommes et deux femmes, dont l’air hagard les fait s’arrêter. Henry déclare que le couronnement ne lui fait pas peur, sauf s’il devient à son tour un vagabond, comme ceux-là.

Ils reprennent leur progression et Henry répond que le couronnement fonctionne pour la plupart des gens. Henry remarque alors que près de Wilmstow, un vagabond a enlevé un garçon, c’est Mme Downes qui le dit. Elle dit aussi que les vagabonds les piègent et les tuent. Mais, comme ils arrivent à la pierre, Will répond qu’il n’y croit pas. Henry dépose à son tour son panier et son pot à lait, tandis que Will recule déjà, sans tourner son dos aux quatre vagabonds qui les fixent des yeux.

Henry fait de même, en ajoutant que M. Hopkins dit que tous les vagabonds sont fous. Comme Will fait sonner la cloche de métal rouillé, Will répond : les vagabonds sont stupides. Alors Henry lance aux vagabonds qu’ils ne sont pas autorisés à dépasser la pierre, alors vaut mieux pour eux qu’ils n’essayent pas. Mais comme alors les quatre vagabonds approchent rapidement, Henry crie à Will de se dépêcher. Le premier vagabond déclare alors que son nom est Ozymandias, et qu’il est le roi de tout le pays. Mais les deux garçons ne l’écoutent pas et s’enfuient à toutes jambes. Ozymandias ajoute alors qu’ils doivent le contempler. Puis il ricane – et, immobile, répète le nom de Will, alors que les autres sont déjà à dévorer la nourriture des paniers.

Will et Henry sont revenus pour prendre place au banquet. Personne n’a encore touché à la nourriture. Alors les trappes du tripode s’ouvrent à nouveau, et tous les convives se lèvent, tandis que la pince redescend Jack depuis la trappe principale et le dépose sur le ponton. Jake retire alors son chapeau, et tout le monde peut alors voir la plaque de métal incrustée dans son crâne… Tous les convives se mettent à applaudir et Jack fait le tour des tables pour serrer la main de tout le monde. Quand Jack sert la main de Will, celui-ci lui demande ce que cela fait – mais Jack ne répond rien, et serre la main suivante. Will interpelle en vain son frère aîné, et le maire fait signe au petit orchestre de commencer à jouer. Tout le monde se met à manger, et Jack n’a encore pas dit un seul mot à Will, qui se vexe.

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