Premier épisode de la saison 10 annoncé en Angleterre pour le 15 avril 2017.
Toujours aussi faussement humoristique et original et confus, le titre du premier épisode est "le pilote" (confusion avec le pilote d'une série), Moffat ayant annoncé que cette saison changerait tout, un peu comme une nouvelle série. Den of Geek a apparemment fait son poisson d'avril avec des annonces fracassantes, qui personnellement, m'ont une fois de plus fait pensé que la série avait toutes les chances d'être annulée avant la saison 11. Attendre et (ne pas) voir, comme disaient les anglais.
Le premier épisode de la dixième saison a été diffusé samedi dernier.
C'est toujours aussi mauvais, et encore plus nauséabond que d'habitude : le nouveau compagnon est une lesbienne (Moffat fait semblant de tolérer les minorités), qui amoureuse d'une étudiante alors qu'elle travaillait à la cafétéria, lui sert toujours plus de frites pour l'engraisser afin de mieux la conquérir. Bien évidemment elle tombe amoureuse d'une autre (donc trompe la première ?) qui meurt dans l'épisode, parce qu'évidemment s'il y a une lesbienne ou un homo il faut qu'il crève (et tente de faire crever sa ou son partenaire). Moffat dans toute sa splendeur... Seule consolation, il ne s'est pas encore remis à vanter le baiser sur la bouche de force, vous savez, celui qui transmet l'herpès, l'hépatite B, les caries et tant d'autres délicatesses...
Re: Doctor Who, la série télévisée de 2005
Posté: Dim 14 Mai 2017 19:04
par Greenheart
Dans le troisième épisode, le Docteur prend de haut la remarque de son assistante : il n'a pas le luxe du temps d'être outragé (ou fortement)... quand quelqu'un laisse mourir un enfant devant lui. De fait, l'assistante lui reprochait de n'avoir rien fait pour sauver l'enfant et de n'avoir été intéressé que de récupérer son tournevis sonique (que l'enfant lui avait volé). C'est encore du pur Moffat - au premier abord on dirait que le Docteur a raison de prendre de haut et donner des leçons quand on remarque qu'il a manqué crucialement à sa mission de sauver des gens.
Au second abord, on se rend compte que c'est le coup d'ordonner minute de silence après minute de silence quand les attentats meurtriers se succèdent, au lieu de démissionner pour laisser la place à quelqu'un de plus compétent, voire d'être envoyé en prison pour avoir laisser faire, ou même avoir encouragé et fourni par exemple les armes ayant permis de commettre l'attentat.
Autrement dit, quand vous voyez quelqu'un faire quelque chose de mal, voire de très mal, et qu'il vous prend de haut, ne vous laissez pas impressionner : c'est par exemple typique d'un violeur surpris en plein viol de prendre de haut la personne qui pourrait stopper le viol, ou encore d'un homme politique / d'une banque prise la main dans le sac d'invoquer son droit à l'ignorance et le mépris de la démocratie et des valeurs républicaines - quand la base de chez base de la justice républicaine commande d'emprisonner le coupable avant d'oser s'en prendre au donneur d'alerte.