Le pire c'est la fin.
Le couple vedette tient la clé qui permet de sortir du confinement.
Ils sortent et abandonnent la clé, juste comme ça.
Ils découvrent que tous les immeubles voisins sont confinés de la même manière.
... Et au lieu d'aller libérer les voisins, ils les laissent crever et s'en vont dans la camionnette de leur rêve pour leur petit-déjeuner en amoureux au Café de Flore à Paris ?
Ce qui fait d'eux des criminels de masse.
La prudence élémentaire aurait été de supposer qu'ils tomberaient à nouveau sur le système de confinement (si c'est arrivé une fois) et de conserver la clé.
De même que la masse pour enfoncer les murs aurait toujours pu être utile, de même la hache.
Il y a d'autres jeux de c.ns (dont celui de la fille qui teste sur son propre bras si le mur va la tuer ou pas... intellectuel, non ? Un simple bâton ou une plante verte aurait suffit), mais le coup de leur enfant mort en couche, c'est du pur remplissage : ça ne sert sert strictement à rien, à part générer le "conflit interne" dont raffolent les mauvais scénaristes quand il s'agit de raconter une histoire de conflit externe : comme ils ne savent pas écrire l'histoire attendu, ils écrivent les disputes et bagarres stériles qui n'avancent à rien ou font reculer, mais permettent de gratter des minutes, puis des heures de film.
Dans ce cas, peut-être trois quarts du film est du remplissage.
Enfin je rappelle que si on vous attaque, l'attaquant doit être neutralisé définitivement : cela veut dire désarmé et incapable de vous attaquer à nouveau.
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