Annoncée à l'international le 16 décembre 2016 sur NETFLIX US / FR.
De Brit Marling et Zal Batmanglij ; avec Brit Marling, Emory Cohen, Scott Wilson, Phyllis Smith, Jason Isaacs, Alice Krige, Patrick Gibson, Brendan Meyer, Ian Alexander, Brandon Perea.
Pour adultes.
(presse) Une jeune fille, Prairie Johnson, revient en ville après avoir disparu huit années durant. Elle a aussi retrouvé la vue. Qui a dit qu'elle avait été enlevée par les extraterrestres ?
The OA S01E01: Le retour (Homecoming) The OA S01E02: Le nouveau colosse (New Colossus) The OA S01E03: Le champion (Champion) The OA S01E04: Là-haut (Away) The OA S01E05: Le paradis (Paradise) The OA S01E06: Les sentiers qui bifurquent (Forking Paths) The OA S01E07: L'empire de lumière (Empire of Light) The OA S01E08: Le moi invisible (Invisible Self)
Hé bien une chose est certaine après cinq minutes de visionnage : on est très loin du niveau d'écriture de Stranger Things.
Pour l'instant je pense que c'est un attrape-nigaud : la production vend cela comme de la SF ou du Fantastique et ignore tout de ce genre : du coup ils jouent la montre à chaque scène en brodant sur du rien et en faisant un pataquès d'un cliché de soap-opera qu'on pourrait voir en semaine sur Plus Niaise la Vie.
(edit) c'est pour adultes et c'est une Mary-sue à la gloire de l'actrice principale / productrice / scénariste. (edit 2) j'en suis à la la 26ème minute, c'est insupportable : je vais craquer et zapper.
Comme les films mettant en vedette la même Brit Marling, la série the OA n'est qu'un jeu d'égo qui tente de se faire passer pour une série de science-fantasy aux relents New Age.
Lisez plutôt un bon livre, de n'importe quel genre de littérature pourvu qu'il soit écrit par un auteur qui ne passe pas son temps à se mettre en vedette à travers une Mary-Sue. Oui, je sais, aujourd'hui cela commence à être dur à trouver, mais d'un autre côté, les librairies aussi ça n'existe presque plus, donc chercher dans les occasions d'il y a 20 ou 30 ans et vous finirez par trouver deux ou trois heures de bonheur imaginatif.