The Beast Within, le film de 2024

Infos et retours sur les films sortis ou à venir au cinéma.

Comment avez-vous trouvé ce film ?

Pas vu.
0
Aucun vote
Nul.
1
100%
Bof.
0
Aucun vote
Correct.
0
Aucun vote
Bon.
0
Aucun vote
Excellent.
0
Aucun vote
Génial !
0
Aucun vote
 
Nombre total de votes : 1

The Beast Within, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Mer 26 Juin 2024 17:09

Image

The Beast WIthin (2024)

Ne pas confondre avec The Beast Within les films de 1982, 2013, 2018; 2020, 2021.

Wokissime toxique, vraisemblablement écrit par Chat-GPT au vu des messages contradictoires, des références fausses ou manquantes à la réalité ainsi qu'aux récits du genre auquel ce film est censé appartenir.

Sortie annoncée au Canada le 22 juillet 2024.
Annoncé aux USA le 26 juillet 2024.

De Alexander J. Farrell (également scénariste), sur un scénario de Greer Ellison ; avec Kit Harington (également producteur), Ashleigh Cummings, James Cosmo, Caoilinn Springall, Ian Giles, Martina McClements.

Pour adultes.

(loup-garou woke) "Il y a deux loups à l'intérieur de nous tous... Ils sont toujours en guerre" ~ Proverbe (NDT : Cherokee, selon la Wikipedia). "William !" crie une vieille dans le noir. En fait en pleine forêt, dans la nuit embrûmée, une torche brûlant haut dans la main droite, un gros sac qui n'a pas l'air plein dans la main gauche : mais qu'allait-elle donc faire dans cette galère ? me direz-vous ? La production a oublié de nous le dire et pas sûr qu'elle le sache elle-même à ce point du film, alors la vieille crie à nouveau : "William !". Et elle s'approche encore de la caméra et crie une troisième fois : "William !" car il ne faut pas avoir peur de se répéter quand on chasse toute seule et sans arme le loup-garou. Ou je ne sais quoi ou qui puisse se cacher dans une forêt à une heure pareille et par un temps pareil.

D'un autre côté, il n'y a aucun moustique et absolument rien ne bouge à l'arrière-plan, ce qui laisse supposer que l'actrice joue devant un écran vert, à moins qu'il ne s'agisse du Volume ? Peu importe, à moins de deux minutes du début du film, on se fait déjà ch.er.

La vieille scrute en avant, tournant la tête de droite à gauche. Un cri bref de bête assez aigu et voilà la vieille qui appelle à nouveau dans la direction du cri : "William ?" Peut-être emporter un poulet ou un auroch la prochaine fois, non ? La vieille décide de marcher dans la direction du cri aigu, mais peut-être sait-elle quelque chose que nous ne savons pas. Peut-être va-t-elle nous découvrir un énorme panneau indicateur du genre "Vous êtes ici, appuyez sur le gros bouton rouge" comme dans The Watchers 2024 ? La vieille s'approche encore de la caméra, regardant au-dessus de nous la bouche ouverte, les yeux agrandis, tandis qu'au son nous entendons un gros truc qui n'a absolument pas une petite voix aigu, mais qui respire très fort. Quelqu'un a décidé d'économiser des effets spéciaux et du talent d'acteur, et surtout du scénario et de la réalisation.

Et soudain nous découvrons que c'est la pleine lune, et en plus de celle qui sont rouge, un peu comme un gros feu de signalisation à l'attention de toutes les petites vieilles avec une torche et un gros sac qui s'en vont dans la forêt la nuit par temps de brouillard. La vieille pousse un cri assez fluet, et dans le noir on devine deux yeux d'un gros chien qui doit bouffer quelque chose, supposément la vieille. Ce n'est pas comme si une torche flambante et un gros sac bien solide aurait pu aider la hurleuse de service, ni comme si le genre de vieille qui s'aventure seule dans une forêt à pieds n'aurait pu avoir aucune expérience des trucs qui croquent les moutons la nuit, ou qui assomment les vieilles pour leur piquer leurs économies. Non, elle est seulement là pour se faire bouffer en guise d'apéritif au début d'un film supposé d'épouvante.

S'affiche alors le titre du film : "La bête à l'intérieur" ... qui est censé être la bête à l'extérieur, donc.

Sans davantage d'explication ou de plan large situant l'action ou de présentation, un vieux barbu dans une maison se lance dans un monologue d'exposition qui sert à rien, en faux raccord avec la scène précédente. Nous serions de jour s'il faut en croire la lumière entrant par les fenêtres, le père Noël nous braque une torche électrique dans la gu.le et soupire : "Des rats, d'accord." Une wokette en salopette surgit derrière le père Noël pour lâcher : "Je le savais bon sang, d'accord." car une wokette sait toujours tout mieux que les autres, surtout dans un dialogue d'exposition-remplissage. Elle ajoute : "J'irai acheter des pièges en ville alors..."

Non, mets-toi à quatre pattes et attrape les rats avec les dents : on a une planète à sauver, et elle est censée avoir eu un bébé comme sur un tableau complètement surréaliste dans une maison où la peinture rouge tombe des murs, les rideaux sont déchiquetés, mais il y a un rail pour deux petits projecteurs histoires que la photo maquillée digitalement soit visible au moment où la caméra monte allez savoir pourquoi : nous avons le point de vue subjectif d'un quidam dont le cul se soulève tout seul du sol jusqu'au plafond...

Pour passer apparemment à travers le plancher d'une chambre à l'étage : quelqu'un n'avait pas le budget pour construire le décor de l'escalier. Dans cet chambre une doublure corps de Kit Harrington qui n'a pas dû avoir le temps de participer au tournage de ce film dont il est la tête d'affiche, regarde de dos en chemise à carreaux par une fenêtre.

La caméra continue de monter et de traverser le plancher et l'on se rapproche de coups de marteaux répétés pour découvrir la seconde wokette du film, une odieuse gamine (toutes les wokettes sont des garces), qui n'hésitera pas à entrer sans permission dans la chambre de son père en train de ahaner et donner des coups de reins, pour le tripoter parce que vous comprenez, elle s'inquiète pour sa petite santé... Ne vous inquiétez pas, ou plutôt si, elle ne fait qu'en rêver.

Ils n'avaient pas non plus le budget pour filmer la fois où elle est entré sans frapper pour le surprendre sous la douche ou assis sur la cuvette des toilettes parce qu'il n'en ressortait pas assez vite ? Et je réalise maintenant pourquoi le personnage de Kit Harrington est obligé régulièrement fuir sa petite famille au fond des bois : il ne fait que satisfaire ses besoins naturels de mâle dont la production semble tout ignorer...

Mais j'ai pris de l'avance sur ce récit joue-la-montre qui ne raconte rien du tout : la fille se relève de derrière sa maquette, les coups étaient frappés à la porte (enfin possiblement) que bien sûr l'odieuse petite garce woke garde fermée parce que son espace personnel à elle, c'est important. A travers la porte, la mère woke indigne pas curieuse quand ça arrange les scénaristes annonce à travers la porte qu'elle doit partir emmener Papa, parce que bien sûr Papa-woket est trop faible et inutile pour s'emmener tout seul : il lui faut une wokette voire deux pour décider et prendre en main son destin. Non, pas ça, son destin ! Ce que vous pouvez avoir l'esprit mal tourné, alors... :twisted:

"Je serais de retour avant la nuit..." ajoute la mère wokette, et comme sa fille wokette ne répond rien, la mère s'en va, peu importe que la fillette en question ait pu avoir un accident à force de couper du petit bois, genre elle baigne dans son sang, ou alors elle fait une overdose de fentanyl, enfin, quoi, tout ce que les jeunes filles font de nos jours quand elles sont élevés par des wokes.

Mais curieusement, la wokette qui a à la fois vue SANS OUVRIR SA PORTE, sur le hall en contrebas (je n'ai pas vu l'escalier donc peut-être bien que oui, la production ne l'a pas construit), et vue par sa fenêtre sur cour, SANS OUVRIR NI REFERMER LA MEME PORTE où sa mère sort un gros cochon de sa cage, avec papa Noël qui sert à rien à côté, et possiblement un autre gros cochon arrive en manteau de fourrure, et une fois encore, on ne voit pas son visage, donc c'est une doublure corps de Kit Harrington, dont la prochaine production se tournera sans doute avec une doublure continuellement masquée.

Dixième minute il ne s'est toujours rien passé qui ne soit pas du joue la montre, et on dirait bien que tout le film sera comme ça, alors je zappe parce que les wokets et les vokettes et les effets sonores en guise de musique et de scénario, ça suffit comme ça : Allez ! vivement les films et séries entièrement générées par Intelligence Artificielle où nous verrons enfin Kit Harrington automatiquement deep-faké dans le film ou la série où il tient la tête d'affiche.


ImageImageImageImage

***



Première bande-annonce officielle hd : https://youtu.be/wKIIMA-4GuU

***
...d'un G qui veut dire Greenheart !
Greenheart
Administrateur du site
 
Messages: 12309
Inscription: Sam 15 Nov 2014 19:56

Re: The Beast Within, le film de 2024

Messagepar Greenheart » Ven 16 Aoû 2024 13:05

Et c'est une m.rde woke dans laquelle Kit Harrington s'est arrangé pour apparaître le moins possible à l'écran.
Passez votre chemin, surtout si vous êtes fan de cet "acteur".

En faisant abstraction de la tête d'affiche, c'est le vide total d'idées, l'ignorance crasse du genre du film de loup-garou, du joue-la-montre constant avec une fixette bien entendu sur les deux wokettes de service, dans une relation familiale inepte et invraisemblable. Si papa est un loup-garou, qu'est-ce que la mère wokette fiche encore là à risquer la vie, la santé (physique et mentale) de sa fille, et comment la mère n'a-t-elle pas été déjà contaminée par la bave de son mari, vu déjà le temps qu'elle passe à brosser la fourrure ensanglanté du monsieur ? Et pourquoi le loup-garou woket déprime à ce point, sans jamais tenir compte à aucun moment des cycles censés rythmer les humeurs des loups-garous ?

Oui, je sais la réponse... C'est une question de budget et de capacité d'acteurs extrêmement limité de Kit Harrington : ils avaient les moyens de filmer la maman wokette en sous-tif, mais pas Kit Harrington à faire ou dire quelque chose cohérent : à vingt minutes du film, trois doublures corps, un seul plan très bref où il fait rien debout vu à travers une fenêtre depuis la cour). Mais à la 23ème minute l'acteur nous gratifie d'une scène où il fait wof et renifle de la wokette.

Comparez avez Le Loup Garou de Londres, Hurlement ou même The Wolfman en noir et blanc et mesurez à quel point ce film est une fraude.

Vers la vingt huitième minute, la double corps de Kit Harrington montre ses fesses à sa fille dans le film, qui bien sûr l'avait suivi pour se rincer l'oeil. Comme je le présumais, la production raconte délibérément une histoire où une mineure, parce qu'elle "s'inquiète pour lui" ou se pose des questions, ne cesse de mater et tripoter son père dans des scénarios sexuels.

Spoiler : :
Dans les films de loups-garous ou de vampire, tout le monde sait que ces monstres sous-entendent du sexe, alors ils évitent d'impliquer une mineure et encore plus la fille du personnage amené à se dénuder, sucer et mordre, et nous supposons pour les loups-garous du moins, lever la patte plus tard. Et quand une production doit impliquer des mineurs supposés, ou simplement des victimes plus ou moins virginales, c'est toujours pour souligner la perversité de la situation, pas pour tromper le lecteur et l'appâter avec le genre de scène où l'acteur sex symbole doit s'exposer à sa fille mineure supposée à l'écran et les spectateurs sont supposés baver là-dessus.


A la trentième minute, scène de transformation mais là-encore, ce n'est pas Kit Harrington qui est à l'écran de dos à se transformer en truc musclé, sans aucun poils

31ème minute, un plan de Kit Harrington affalé hagard sans dialogue. Et je commence à me dire que son temps de tournage sur ce film n'a pas dû excéder le quart d'heure pendant que les autres s'agitaient vaguement autour du pot pendant tout ce temps là.

37ème minute apparition fugace, puis une ligne de dialogue de Kit Harrington juste après 38ème minute mais avec des inserts qui prennent le plus de temps possible : la voiture qui roule, la wokette fillette qui fiche rien. Il leur faut deux minutes pour descendre de leur voiture, puis une minute pour marcher dans la forêt, s'éloigner de quelques pas, revenir, se pencher etc. 40ème minute une ligne de dialogue et une minute plus tard une troisième ligne de dialogue et lesquels... "Faut qu'on roule, faut qu'on se parle, c'est normal d'avoir peur..." mais qu'est-ce que fiche la wokette avec sa bouteille à oxygène roulante (même pas sac à dos) dans une ruine en pleine forêt alors qu'on ne l'a même pas vu sortir le vélo de la voiture ?

41ème minute, monologue d'exposition de Kit Harrington. J'espère que quelqu'un va proposer un montage de ses scènes qui limitera à dix minutes la vision de ce film.

Le personnage de Kit Harrington raconte alors avec des détails littéraires le secret de son grand-père, qui s'est suicidé avant de l'avoir raconté à qui que ce soit. Cherchez l'erreur puis évaluez le degré de ce jeux de c... Des os qui se brisent, des membres qui se tordent et moi je ne vois que la bague en or que le personnage porte encore à son doigt... quand il se transforme ?

Et je conclue parce qu'un film wokissime ne pouvait mener à nulle autre fin : arrivé à court de budget pour tergiversé, la petite garce woke qui d'un coup n'a plus besoin de sa bouteille d'oxygène, décide de l'utiliser comme un lance-flamme pour brûler vif son papa. Oui, la bouteille ne chauffe même pas. Dans la réalité, c'est elle qui serait morte brûlée vive et le loup-garou se serait complètement régénéré le jour d'après, mais nous sommes en wokerie.

Et à une heure trente, la production suggère que la wokette fillette garce woke parricide a tout imaginé : elle aurait surpris son père en train de battre sa mère au fond de bois, et il lui aurait avoué (en caleçon, même pas à poils) qu'il était un monstre. Sauf qu'il n'y a aucune raison pour que la mère emmène son père au fond des bois spécialement pour qu'il la batte. Plus si sa mère était psychopathe à ce point, pourquoi ne vengerait-elle pas son mari en brûlant vif sa fille parricide.

Et qui peut croire que la gentille famille moins son père va continuer sa petite vie tranquille comme ça ? Je veux dire, combien de mari ont-elles assassiné avant le début du film, et combien elles vont en assassiner encore ? Qui peut croire une seconde que celui-ci puisse passer tout son temps hagard ou enfermé dans une chambre sans avoir été drogué à chaque repas ? Plus les deux wokettes ont toujours eu le moyen de partir loin sans laisser aucun moyen à un mari abusif de les retrouver, et encore une fois, quelle genre de mère met en danger sa fille en la laissant en présence voire seule avec un individu violent ? Le même genre qui lance la carrière de sa fille au cinéma en l'encourageant à coucher avec son photographe ou son réalisateur, voire à l'épouser alors qu'elle est mineure ?

Et qu'est-ce que c'est que ce genre de message si on prétend dénoncer les violences conjugales ou familiales ? Il n'y a absolument rien qui permette de détecter, prévenir ou empêcher la reproduction : le mari ou le père qui bat serait "un monstre" point barre.

Il n'y a même pas la reproduction de violences de génération en génération par transfert (atavisme) ou par maintient de chaque nouvelle génération dans un milieu ou des situations qui provoquent les mêmes effets, comme par exemple le père qui s'engagerait systématiquement à l'armée et reviendrait chtarbé à cause de ce qu'il a vu et ce qu'on lui a fait faire là-bas : non, la wokette-fille garce a tout imaginé de l'aspect fantastique, donc forcément l'histoire du grand-père loup-garou dont personne ne pourrait connaître le secret vu qu'il s'est suicidé après avoir tué la grand-mère seul témoin, c'est du chiqué et ne peut pas compter dans le filage de la métaphore loup-garou = mari violent.

Et si cela avait été vrai dans le film, pourquoi le père du grand-père n'était pas loup-garou, vu que cela se transmet de père en fils, et pourquoi la lycanthropie serait-elle sexiste et aurait épargné la fille, et pourquoi personne ne se transformait au berceau ou même à la puberté, vous savez l'époque où les draps dénoncent votre "transformation" (aka maturité et capacité à faire survivre votre lignée et votre espèce) ?

Comparez avec Night Of The Hunter (La Nuit du Chasseur), It's A Wonderful Life (la vie est belle) de Capra, les deux films démontent magnifiquement la reproduction de la violence dans des couples et de génération en génération tout en exaltant soit le réalisme merveilleux / horrifique, soit l'aspect fantastique révélateur de la nature réel des processus humains dont la violence conjugale, pour des causes très différentes dans chaque film, mais avec des résultats tout aussi spectaculaires et frappants.

Tout le contraire de The Beast Within.

Ah, et contrairement à la lettre du proverbe en ouverture du film, je n'ai vue qu'une seule bête à l'intérieur d'un des personnages, trois si on compte à la fois l'intérieur et l'extérieur.

Et vu les incohérences et la perversion des messages et références à la réalité, je diagnostique : scénario principalement écrit par / inspiré de Chat-GPT.

***

***
...d'un G qui veut dire Greenheart !
Greenheart
Administrateur du site
 
Messages: 12309
Inscription: Sam 15 Nov 2014 19:56


Retourner vers Cinema

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 1 invité

cron