Jurassic Park, le film de 1993

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Jurassic Park, le film de 1993

Messagepar Greenheart » Sam 28 Juin 2025 10:11

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Jurassic Park (1993)

Sorti aux USA le 11 juin 1993.
Sorti en Angleterre le 16 juillet 1993.
Sorti en France le 20 octobre 1993.

Sorti en blu-ray français UNIVERSAL FR le 12 juin 2012.
Sorti en coffret br+3D+dvd américain UNIVERSAL US le 23 avril 2013.
Sorti en coffret 4K+br américain UNIVERSAL US le 10 mai 2022.
Sorti en coffret trois films Jurassic Parc 4K+br américain UNIVERSAL US le 17 juin 2022.

De Steven Spielberg, sur un scénario de Michael Crichton et David Koepp, adapté du roman de 1990 de Michael Crichton ; avec Sam Neill, Laura Dern, Jeff Goldblum, Richard Attenborough, Bob Peck, Martin Ferrero, BD Wong, Samuel L. Jackson, Wayne Knight, Joseph Mazzello, Ariana Richards.

Pour adultes et adolescents.

(prospective, catastrophe, monstre, dinosaures) La nuit, sur une île tropicale, Isla Nublar (NDT l'ïle embrumée) à 120 miles (NDT 193 km) à l'Ouest du Costa Rica. Des gardes armés aux casques orange ornés d'un logo "Parc jurassique" surveillent nerveusement l'arrivée de quelque chose de massif dans une cage blindée transporté par un engin de chantier, dans un concert de frôlements de feuillages. Le chef de la manœuvre vocifère ses consignes : "Tout le monde la tête haute, restez à l'écart maintenant, avancez, ralentissez..."

La créature grogne tandis que sa cage est déposée sur une estrade sous les projecteurs éblouissants. Le chef de l'équipe (Robert), à l'évidence un chasseur de gros gibier, appelle : "L'équipe de pousseurs, en place !" Et quelques hommes casqués accourent. "Je veux que les tasers soient sur intensité maximum..."

En apparcevant les "pousseurs", la créature émet un sifflement et rue, faisant reculer tout le monde. Robert les rappelle à l'ordre : "Allez, revenez en place !" Ils obtempèrent. "Et... Poussez !" Et les hommes poussent la cage en direction d'une porte donnant sur l'estrade, éclairée de lampe rouge, d'une construction sur laquelle sont postés de nombreux gardes armés. Les lumières de la porte passent à l'orange, puis quand la cage fait cliqueter la porte, au vert.

"Verrouillé !", annonce le chef. Et d'appeler : "Equipe de chargement, reculez." Et les pousseurs s'en vont, pendant l'un des gardes monte à une échelle à l'angle du mur de la porte et de la cage. Puis le chef ordonne à un certain Jophery de relever le portail. Le garde juché sur la cage relève alors à la main ce qui ressemble à une lourde grille aux trous de petites tailles.

La créature se met à siffler et railler, puis, reculant violemment, elle fait brutalement glisser sa propre cage en arrière, et du coup, la grille du portail retombe et le garde qui l'avait soulevé chute, entre le portail et l'entrée de la cage du monstre. Le garde, d'abord à plat ventre dans l'espace entre le portail et la cage, est soudain tiré en arrière et hurle.

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La bande-annonce 4K FT DEPOT : https://youtu.be/bx46tthKXmc

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extrait officiel 4K UNIVERSAL : https://youtu.be/VzZN9AVBS1I

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Re: Jurassic Park, le film de 1993

Messagepar Greenheart » Sam 28 Juin 2025 10:28

Le film blockbuster de l'été 1993, par un Michael Crichton peu inspiré qui s'auto-plagie (WestWorld, en franglais Mondwest) et plus tard volera carrément le titre du roman de Conan Doyle dont les premières adaptations lancèrent la mode des films de dinosaure.

Spielberg et consort est visiblement là pour faire du fric. Il innove certes grâce aux progrès des effets spéciaux numériques, même si ce sont les marionnettes animatronic qui font les images les plus impressionnantes.

Là où le film prend cher, c'est côté acteurs et actrices plus génériques et inexpressifs tu meurs : personne ne fait d'efforts particulier pour avoir l'air d'y être, les répliques n'ont rien de remarquable, le parc d'attraction n'est pas tant ce qu'on nous montre à l'écran que le principe d'écriture du film et probablement du roman : c'est un tour de manège.

La comparaison avec les films de Michael Crichton de sa jeunesse et sa grande époque (The Andromeda Strain / Le mystère Andromède, Coma / Morts suspectes, Westworld / Mondwest, Looker) est simplement pénible : Jurassic Park a tout de la pompe à fric vaine et rien du film de science-fiction et d'aventure pertinent et percutant.

Et, ce qui est sans doute précurseur de ce qui va arriver avec les films générés par intelligence artificielle, tout le monde peut faire du kilométrique avec des dino à l'écran -- et tout le monde l'a déjà fait cela depuis les années 1920 et 1930 avec l'énorme succès du Monde Perdu et ses marionnettes, ou les animatronic des années 1970/1980, et les numériques qui ne supportent pas le passage à la haute définition voire à la 4K, et nécessite plus ou moins de tout recalculer voire de reconstruire les modèles numériques et refaire les textures pour obtenir le rendu réaliste.

Nous attendons toujours les dinosaures et autres mamouths annoncés il y a trente ans dans les revues de vulgarisation scientifiques, sans doute pour être servis en steak dans les restaurants pour ultra-riches, à la Antiviral, et très certainement prochain vecteurs d'épidémies autrement plus monstrueuses que vos gains de fonction de chez Pfeizer épandés via les campagnes de vaccinations qui ne vaccinent pas.

En conclusion, Jurassic Park fait parti de ces films qui à la revoyure perdent spectaculairement tout intérêt, peu importe le passage à la HD puis la mise à échelle 4K, et je n'ai pas encore investi dans la version 4K non plus. Tandis que paradoxalement, je ne peux m'empêcher de revoir la version restaurée sauvée du Temps et de la Censure du Monde Perdu et bien autres films cultes d'époque. Il s'agit bien d'un film jetable tels que Spielberg et ses semblables en enchaînent par abus de position dominante et avidité des fonds de pension / mafias qui possèdent les studios américains. Les auteurs de série Z à B font et ont toujours fait la même chose à peine moins bien, et parfois mieux, la différence réside dans l'emballage.

Et encore une fois, les acteurs sont mauvais, les personnages sont écrits dans charisme ni réelle démonstration de compétence de terrain ou de communication, c'est un film qui ne sert à rien en terme d'enrichissement personnel, juste à s'abrutir un moment devant un écran, et les jeux vidéos font cela beaucoup mieux, y compris le premier casse-brique sur la première console jamais vendue.

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