The Boys (2019)
Traduction du titre original : les gars (les garçons).
Toxique propagandaire : l'ultraviolence de la série sert à bloquer le cerveau des spectateurs pour forcer de la propagande démocrate américaine - à la troisième saison, un figurant est costumé pour ressembler à un manifestant pro-trump arrêté parce qu'à l'invitation de la police sur ordre de Nancy Pelosi il a visité le Capitole. Seuls des manifestants pro-trumps ont été tués sans raison par les autorités tandis que la justice condamnait abusivement à de lourdes peines de prison jusqu'à des gens qui n'étaient pas présents lors de la manifestation, ainsi que les journalistes qui couvraient l'évènement.
Spoiler : :
D'une manière générale, ne vous exposez pas à des séries ou des films ultraviolents : ils endommagent forcément le cerveau et facilite un conditionnement commandité par ceux qui financent ce genre de séries ou de films, peu importe de quel bord politique ou sous quel prétexte : votre cerveau n'a pas à être conditionné et forcé de la sorte.
Diffusé en France et à l'international à partir du 26 juillet 2019 sur AMAZON PRIME FR.
Créé par Eric Kripke d'après la bande dessinée The Boys 2006 de Garth Ennis et Darick Robertson, avec Karl Urban, Jack Quaid, Laz Alonso, Tomer Kapon, Karen Fukuhara, Antony Starr, Erin Moriarty, Dominique McElligott, Jessie Usher, Chace Crawford, Nathan Mitchell, Elisabeth Shue.
Pour adultes
(parodie Marvel ultraviolente toxique woke propagandaire) Hughie, modeste installateur en matériel informatique, qui à l'instar de son père, a toujours joué la carte de la prudence et manqué de volonté et fan des Sept Super-héros depuis sa plus tendre enfance, perd de manière atroce sa fiancée : l'un des Sept, A-Train, est en effet passé à travers du corps de la jeune femme en pleine conversation à propos de leur futur mariage. Hughie reste là, traumatisé, tandis que A-Train bredouille qu'il s'excuse mais qu'il n'a pas le temps de s'arrêter, et puis de toute manière, c'était de la faute de la jeune femme : elle avait un pied sur la route.
Hughie ne comprend pas, il est en colère et il est incapable de laisser sortir sa colère, et A-Train est sur toutes les publicités, dans la rue et dans les magasins. Le jeune homme est alors contacté par un avocat travaillant pour la corporation Vought qui gère l'image et les contrats des super-héros : en échange d'un gros chèque, il devra se taire, et cela, Hughie refuse, ou plutôt demande à réfléchir. Hughie est alors contacté par un individu sinistre, Butcher, qui l'emmène dans un club (sexuel) de super-héros, où il lui fait visionner la conversation de A-Train, qui rigole avec un collègue de travail sur le fait qu'une molaire la fiancée d'Hughie lui est resté dans les cheveux.
Au même moment, la très naïve Annie, coaché par sa mère, se prépare à passer une audition pour, en tant que la super-héroïne Stella Starlight, elle fasse possiblement partie des Sept et deviennent une salariée de la corporation Vought. Alors qu'elle croyait avoir raté l'audition au question, elle est embauchée, et le rêve commence pour elle : une visite privée de la salle de réunion des Sept par The Deep, l'homme poisson, qui en apprenant qu'Annie toute petite craquait pour lui, baisse immédiatement son pantalon et exige une petite gâterie, sans quoi il accusera la jeune fille d'avoir tenté de l'attaquer, et elle sera immédiatement virée des Sept.
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